En 1734, l’esclave Angélique est accusée d’avoir incendié Montréal. Les documents d’archives permettent de reconstituer son procès et son exécution. Ils laissent cependant planer de nombreux doutes.
En avril 1734, un incendie ravage Montréal. L’Hôtel-Dieu et 45 maisons sont détruits, des centaines d’habitants, qui ont tout perdu, sont à la rue. Et, comme le feu, une rumeur se répand rapidement…
En juin 1721, 171 maisons ainsi que le plus grand hôpital de Montréal, petite ville coloniale de 2000 personnes, sont réduits en cendres. Ce drame conduira à de grandes améliorations urbaines.
Tous les efforts des pompiers volontaires montréalais pour stopper l’incendie de juillet 1852 sont vains. En effet, un malheureux hasard permet au feu de se propager et de détruire 1200 maisons.
Le soir du 25 avril 1849, de fortes têtes entrent dans le parlement et y mettent le feu. Les députés se hâtent de sortir et on tente de sauver les archives et les livres. Le feu prend de l’ampleur…
Avec un bilan de 37 victimes et des dizaines de blessés, l’incendie criminel qui a ravagé le bar le Blue Bird, une institution en 1972, est l’une des pires tragédies survenues à Montréal.
En 1927, un incendie cause la mort de 77 enfants dans un cinéma du quartier Hochelaga-Maisonneuve. La tragédie fait réagir le clergé qui veut tenir les jeunes loin des salles de projection.
Le 13 avril 2015, un violent incendie détruit l’église orthodoxe grecque du quartier Parc-Extension. Les paroissiens attristés témoignent de leur attachement à ce lieu de culte.
En 1944, un avion militaire s’écrase juste au sud du centre-ville de Montréal et ravage une partie de Griffintown. C’est un terrible rappel des horreurs de la guerre qui déchire alors l’Europe.