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Photo couleur d’une femme souriante en plan rapproché, prise à l’extérieur.

Joaquina Pires fait partie de ces personnes, anonymes auprès du grand public, qui contribuent à améliorer notre société. Depuis toujours, elle soutient les immigrantes et les immigrants de Montréal.

Photo en noir et blanc de trois enfants souriant dans une cuisine avec un réfrigérateur et une machine à laver avec essoreuse. Devant eux, une table bien remplie.

Ayant quitté ses Açores natales en 1958, José-Louis Jacome commence une tout autre vie à Montréal. Il a huit ans et découvre l’hiver, l’hostilité, mais aussi la modernité et l’abondance.

Photographie en hauteur du quartier et du canal Lachine, vue vers le sud.

Domaine agricole sous le Régime français, Griffintown devient un des pivots de l’industrialisation montréalaise au XIXe siècle. C’est seulement une des étonnantes transformations qu’il a connues.

Photographie couleur de Griffintown le soir, vu du sud de Montréal.

Au XXe siècle, un inexorable déclin marque Griffintown : la population quitte les taudis tandis que l’industrie s’essouffle. Pendant les années 1990 s’amorce pourtant un spectaculaire retour à la vie.

Photo en noir et blanc en gros plan d’une jeune fille souriante. Derrière elle, un immeuble à appartements.

Les circonstances ont conduit Éva Böröcz, très jeune Hongroise en quête de liberté, dans le Montréal des années 1950. Avec ténacité et enthousiasme, elle y a bâti les débuts d’une vie accomplie.

Salle d’exposition montrant deux murs avec des photos en noir et blanc, des panneaux de texte, un écran et deux personnes, debout, qui la visitent.

Un portrait authentique de la relation grands-parents–petits-enfants, révélateur pour tous, est dressé par une exposition mettant en relief des questions propres à la communauté luso-montréalaise.

Boulevard Saint-Laurent en direction nord, prise à partir de la rue Vitré (aujourd'hui l'avenue Viger). On peut remarquer sur le flanc gauche une succession d'édifices abritant différents commerces dont l’édifice Robillard.

Dévasté par un incendie en 2016, l’édifice Robillard avait une valeur patrimoniale indéniable. De 1896 à 1897, il avait abrité la première salle exclusivement cinématographique du Canada.

Capture d’écran du clip : José-Louis montre une photo prise quand il était enfant en se tenant à l’endroit où elle a été prise près de 60 ans plus tard.

José-Louis Jacome nous entraîne dans les quartiers de la Petite Italie et de Villeray où, enfant immigrant, il a vécu ses premières expériences montréalaises.

José-Louis Jacome en compagnie de Madalena da Costa et José Manuel Pereira

La quête de José-Louis Jacome pour retrouver ses racines raconte bien plus qu’une histoire personnelle, elle témoigne des débuts de l’immigration des Açoriens à Montréal.

Capture d’écran du clip montrant Joaquina et José-Louis assis et discutant

Alors qu’il menait des recherches personnelles sur ses origines, José-Louis Jacome, Montréalais né aux Açores, a fait une rencontre déterminante. Sa quête a ainsi pris une nouvelle envergure.