Des pans entiers du patrimoine bâti de la métropole disparaissent dans les années 1950 et 1960 au nom de la modernité. Il faut tout documenter. Des fonctionnaires sont à l’œuvre sur le terrain.
Le Red Light aux parfums illicites et aux plaisirs défendus cachait une autre réalité. Une fois les néons éteints, le jour levé, ses 4000 résidants se réveillaient, mangeaient, travaillaient…
Au nom de la modernisation — autoroutes, métro, Expo 67, complexes immobiliers, hôtels, institutions — disparaissent des pans entiers du patrimoine bâti de la métropole dans les années 1950 et 1960.
La quête d’équité a été un moteur de la carrière de Viviane Ducheine au sein de la Ville de Montréal. L’efficace promotion de l’interculturalisme par cette dirigeante originaire d’Haïti le prouve.
Mai 1964 : 350 maisons et commerces disparaissent et 1500 personnes perdent leur milieu de vie. D’anciens résidants témoignent de l’intensité des relations de voisinage dans cette petite enclave.
Cette série de balados, produite par le MEM, célèbre l’héritage culturel intangible du Quartier chinois à travers les récits de personnes qui le chérissent. Ici, la voix de Bethany Or.
Cette série de balados, produite par le MEM, célèbre l’héritage culturel intangible du Quartier chinois à travers les récits de personnes qui le chérissent. Ici, les voix de Suzanne Chan et d’Anthony Chan.
Cette série de balados, produite par le MEM, célèbre l’héritage culturel intangible du Quartier chinois à travers les récits de personnes qui le chérissent. Ici, la voix de Simon Wing.
Cette série de balados, produite par le MEM, célèbre l’héritage culturel intangible du Quartier chinois à travers les récits de personnes qui le chérissent. Ici, la voix de Linda Lee.
Cette série de balados, produite par le MEM, célèbre l’héritage culturel intangible du Quartier chinois à travers les récits de personnes qui le chérissent. Ici, la voix de Gilbert Lee.