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Affichage 11 à 20 de 31 résultats pour le terme de recherche "quartier chinois".
Une femme et deux enfants sur le côté d’une maison rue Britannia.

Mai 1964 : 350 maisons et commerces disparaissent et 1500 personnes perdent leur milieu de vie. D’anciens résidants témoignent de l’intensité des relations de voisinage dans cette petite enclave.

Gérard Beaudet

Gérard Beaudet est professeur d’urbanisme à l’Université de Montréal. Il a été interviewé dans le cadre de l’exposition-documentaire du Centre d’histoire Quartiers disparus.

Six musiciens se trouvent sur scène et jouent

Bien implantées dans leur milieu, les maisons de la culture de Montréal travaillent depuis 40 ans à resserrer le tissu social dans les quartiers où elles se trouvent.

Vue aérienne du site déblayé de Radio-Canada avec le point Jacques-Cartier en arrière-plan

Le Faubourg à m’lasse, appellation familière et non officielle, est un quartier populaire canadien-français composé de maisons à deux ou trois étages et de services de proximité.

Angle des rues Forfar et Bridge.

Goose Village est l’un des plus vieux quartiers ouvriers de Montréal. Au 19e siècle, il regroupe les personnes qui travaillent à la construction du pont Victoria. En 1964, le secteur disparaît pour faire place à une partie du site d’Expo 67.

Une femme, de dos, tient son bébé qui est assis sur un muret dans la cour derrière le triplex familial. Une voisine le regarde.

Ancienne fonctionnaire municipale, mais aussi militante, Joaquina Pires dévoile les traces laissées par la communauté portugaise dans le quartier Saint-Louis. L’esprit du lieu est-il au rendez-vous?

Six garçons et filles regardent des photos collées sur le plafond et les murs d’une petite maison.

Accessibles et audacieuses, les maisons de la culture de Montréal sont, dès les années 1980, des lieux innovants de démocratisation culturelle.

Vue aérienne oblique du secteur du Red Light, avec le pont Jacques-Cartier en arrière-plan.

Le Red Light est en transformation dans les années d’après-guerre. Malgré sa réputation sulfureuse, le quartier reste résidentiel et une partie de sa population ne profite pas des activités illégales.

Photographie couleur de Griffintown le soir, vu du sud de Montréal.

Au XXe siècle, un inexorable déclin marque Griffintown : la population quitte les taudis tandis que l’industrie s’essouffle. Pendant les années 1990 s’amorce pourtant un spectaculaire retour à la vie.

Photographie en hauteur du quartier et du canal Lachine, vue vers le sud.

Domaine agricole sous le Régime français, Griffintown devient un des pivots de l’industrialisation montréalaise au XIXe siècle. C’est seulement une des étonnantes transformations qu’il a connues.