À la fin des années 1970, des milliers de réfugiés vietnamiens s’installent à Montréal. Dès lors se construit une complexe relation avec le Quartier chinois.
En 1945, les Chinois de Montréal organisent un grand défilé célébrant la fin de la guerre. Toute la population de la ville est conviée à des festivités pittoresques et d’envergure.
« L’âme éternelle de la vieille Chine danse, la nuit, dans la ville chinoise de Montréal. » La Revue Moderne évoque ainsi, en 1937, un espace exotique toujours bien connu des Montréalais.
Liée à l’entreprise Wing, à deux édifices patrimoniaux et à la communauté du Quartier chinois, la collection Wings révèle une histoire socioéconomique de Montréal. Mais son avenir est incertain.
De nombreux enjeux d’aménagement urbain sont d’actualité au Quartier chinois. Plusieurs groupes travaillent pour en faire un endroit qui porte fièrement son héritage culturel et où il fait bon vivre.
Espace de partage culturel et lieu de rencontres intergénérationnelles, le Centre communautaire catholique chinois est un symbole de stabilité au sein du Quartier chinois.
Œuvrant au sein de la communauté sino-cambodgienne de Montréal, l’ACCC s’est adaptée à l’évolution des besoins de ses membres, allant du soutien aux réfugiés à la transmission culturelle.
Depuis plus d’un siècle, les associations familiales jouent un rôle de gardiennes dans la communauté chinoise. L’Association Hum est l’une des plus anciennes de ce genre à Montréal.
Musicienne la nuit, activiste le jour, Janet Lumb déborde d’énergie. Le regard pétillant, elle édifie des ponts entre les communautés afin d’encourager des échanges interculturels et intergénérationnels.
Andong Wang explore le dessin et la peinture comme vecteurs d’expression. Jumelant rigueur et intuition, ses œuvres reflètent, en trames épaisses ou traits subtils, la richesse de son monde intérieur.