![Affiche annonçant l’ouverture officielle des Archives lesbiennes Traces le jeudi 14 avril [1983].](https://ville.montreal.qc.ca/memoiresdesmontrealais/sites/default/files/styles/chm-blog-recherche/public/affiche_ouverture_archives_traces_1983_violette.jpg?itok=_5Baa4Nq&c=284cce3a0a4f5184ae41f384f34ac4fe)
En 1983, quatre Montréalaises organisent un fonds archivistique lesbien. Sous plusieurs formes, leur association militante combattra toujours l’oubli de toutes les histoires des lesbiennes.
La Grande Dépression amène Bethune à repenser le rôle de l’État dans le système de santé. Puis un voyage en URSS lui confirme que d’autres modèles sociopolitiques sont possibles.
En janvier 2002, l’Office de consultation publique de Montréal voit le jour au même moment que la nouvelle Ville de Montréal.
Premier propriétaire et conducteur d’une automobile à Montréal, il a fait fortune dans un nouveau secteur de l’économie à la fin du XIXe siècle, l’immobilier. Qui est cet homme?
En 1984, une école du Plateau devient un lieu d’ancrage culturel et politique pour la communauté lesbienne. Cet effervescent laboratoire social appuie ainsi une forme de résistance.
La volonté des Montréalaises et Montréalais d’être consultés dans les débats sur l’aménagement s’exprime tôt dans l’histoire de la ville, et de plus en plus fermement au milieu du XXe siècle.
En 1915, un groupe de villageois arméniens, installé au sommet du Musa Dagh, résiste à la déportation. Transmise de génération en génération, cette histoire héroïque est arrivée jusqu’à Montréal.