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Deux enfants tenant chacun un cornet de crème glacée prennent la pose

Pour Michel Barette, l’été 1967 est celui des grandes découvertes. Le p’tit gars d’Alma, qui s’extasie de la modernité de l’Expo comme de celle de Montréal, est touché par la démesure du monde.

Michel Rivard chantant et jouant de la guitare

Michel Rivard passe à l’Expo une grande partie de l’été 1967 qui devient une fête sans fin. Habité par un sentiment de liberté et de dépaysement, l’adolescent y amorce son passage à l’âge adulte.

Affiche du documentaire Jours meilleurs

Au travers de trois témoignages, le documentaire Jours meilleurs révèle différentes facettes de l’immigration de jeunes Italiens à Montréal.

Photo en noir en blanc de 1955 d’un garçon et d’un homme se tenant par la taille dans une ruelle en terre, une voiture se trouve au bout. Ils se tiennent près d’une maison.

Des habitants de Ville-Émard se souviennent de la vie des ruelles, un espace où les adultes commerçaient et socialisaient, tandis que des tribus d’enfants y établissaient leur domaine.

Photo en noir et blanc montrant une petite-fille, debout, qui lève les yeux vers son grand-père, debout à côté d’elle et lui tenant la main. .

En 2017, l’exposition du Centre d’histoire Fil de tendresse, fio de ternura dévoile la relation entre grands-parents et petits-enfants luso-montréalais. Les aînés témoignent ici de ces liens.

Photo en noir et blanc d’un homme âgé embrassant sa femme sur la joue en plan rapproché. .

En 2017, l’exposition du Centre d’histoire Fil de tendresse, fio de ternura dévoile la relation entre grands-parents et petits-enfants luso-montréalais. Les plus jeunes témoignent ici de ces liens.

Photo d’une jeune femme en plan rapproché

Comme pour beaucoup de jeunes immigrants, c’est l’esprit d’aventure qui mène Laura à Montréal. Cette folie de jeunesse a toutefois pris une forme inattendue, une réelle mission sociale.

Photo de studio de Judy Rebick

En 1967, Judy Rebick, jeune étudiante, héberge deux groupes de rock emblématiques de la contreculture. Invités à visiter l’Exposition de Montréal, ils s’en désintéressent complètement.

Un couple enlacé à Expo 67

En 1967, sur le site de l’Expo, Veronica et Claude sont deux travailleurs parmi tant d’autres. Cependant, la rencontre de ces deux jeunes issus de l’immigration va changer leur vie pour toujours.

Photo de cabine photographique de Pierre Huet

Pierre Huet se souvient qu’en 1967 tout semblait possible. À l’expo, il écoutait les Beatles, voulait des vêtements farfelus, découvrait des cultures... Sa vie, dit-il, a commencé avec Expo 67.