Les premiers immigrants maghrébins s’installent à Montréal dans les années 1950. Quarante ans plus tard, étudiants et demandeurs d’asile du Maghreb y arrivent nombreux.
Après des études en art à Florence, Guido Nincheri s’établit à Montréal et devient un décorateur d’églises prestigieux. Ses œuvres magnifiques ornent de nombreux lieux de culte en Amérique du Nord.
Au coin des rues Basin et de la Montagne se trouve un parc où gisent des vestiges de pierre. Ce sont les traces d’un lieu emblématique pour les Irlando-Catholiques de Montréal, l’église Sainte-Anne.
La présence affirmée de Haïtiens dans le paysage montréalais, culturel ou politique, est le signe d’une communauté nombreuse et dynamique, implantée dans la métropole depuis plusieurs décennies.
En 1957, du haut de ses cinq ans, un petit garçon hongrois traverse l’Atlantique en avion avec son frère et ses parents en direction de sa nouvelle maison, Montréal.
Au début du XXe siècle, l’arrivée massive d’immigrants contribue à l’activité économique de la métropole. Certaines initiatives marqueront l’histoire commerciale de Montréal et du Québec.
Des commerces, comme le célèbre restaurant Schwartz’s, représentent les emblèmes visibles d’une communauté dont les contributions sont passées à l’histoire.
Un secteur industriel de l’ouest de Montréal abrite un impressionnant temple hindou, le premier construit au Québec en s’inspirant de l’architecture traditionnelle du sud de l’Inde.
Joaquina Pires fait partie de ces personnes, anonymes auprès du grand public, qui contribuent à améliorer notre société. Depuis toujours, elle soutient les immigrantes et les immigrants de Montréal.
« Par chez-nous » est une invitation à découvrir et redécouvrir la diversité des quartiers montréalais au travers des histoires des personnes originaires d’Amérique latine qui y habitent. Ici, l’histoire d’Andrea et Jesús.