Souvent oubliées des récits d’immigration et d’intégration, les femmes grecques contribuent depuis leur arrivée à Montréal au développement de leur communauté et de leur famille.
Emilia De Minico, une Italo-Montréalaise installée dans le Mile End depuis 1960, nous confie quelques-uns de ses souvenirs d’immigration.
Parmi les nombreuses familles peuplant le Mile End au début du XXe siècle, celle des sœurs McNulty détonne. C’est en effet Annie, une célibataire de 26 ans, qui dirige la maisonnée.
Deux familles — l’une d’origine anglaise, l’autre d’origine américaine — s’uniront et contribueront largement à modeler le visage du Plateau Mont-Royal, pendant quatre générations.
Au coin des rues Basin et de la Montagne se trouve un parc où gisent des vestiges de pierre. Ce sont les traces d’un lieu emblématique pour les Irlando-Catholiques de Montréal, l’église Sainte-Anne.
Depuis 2009, l’organisme LatinArte favorise les échanges interculturels entre le public québécois et les artistes latino-américains habitant et travaillant à Montréal.
Le succès de la principale troupe de danse folklorique colombienne de Montréal prouve le rôle déterminant de la culture, du folklore et de la danse dans le rapprochement interculturel.
Depuis plus de 30 ans, le Club Balattou, bar-spectacle de la rue Saint-Laurent, est un endroit incontournable pour qui s’intéresse aux musiques d’ascendance africaine.
Au début du XXe siècle, l’Afrique est peu connue des Montréalais. C’est à travers les lunettes des missionnaires qu’ils en font la découverte.
Peu nombreux à Montréal avant la décennie 1970, les Chiliens s’y établissent en grand nombre à la suite du coup d’État qui frappe leur pays en 1973.