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Affichage 1 à 10 de 42 résultats pour le terme de recherche "quartier chinois".
Maisons de trois étages en pierres grises le long d’une rue.

Sauvées de la démolition par le Comité citoyen de Milton Parc dans les années 1970, des maisons de chambres offrent un milieu de vie et un loyer abordable aux personnes démunies du quartier.

Une foule marche dans une rue du centre-ville. Plusieurs personnes tiennent des pancartes ou des bannières en chinois ou en anglais.

La communauté sino-montréalaise s’est mobilisée à plusieurs moments de son histoire face au racisme et à la xénophobie. Aujourd’hui encore, elle combat courageusement l’embourgeoisement, la sinophobie et l’intolérance. 

Pierre tombale d’Edith Maud Eaton, cimetière Mont-Royal

Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.

Un homme est assis à l’intérieur du salon de coiffure Barbier A. Plouffe et regarde à l’extérieur par la grande fenêtre.

Entre les rues Dorchester, Papineau, Craig et Wolfe, il ne reste plus un seul des 262 bâtiments du Faubourg à m’lasse en cette fin d’année 1963. Près de 5000 personnes ont perdu leur milieu de vie.

Quatre hommes et quatre femmes sont assis autour d’une table carrée sur laquelle se trouvent des feuilles de papier et des crayons.

Fondé en 1968, le Carrefour d’éducation populaire de Pointe-Saint-Charles est depuis au cœur de la vie communautaire du quartier.

George Glicakis dans son salon de barbier

Dans Parc-Extension, des générations d’hommes et de femmes de diverses origines ont construit leur histoire montréalaise au quotidien.

Une femme, de dos, tient son bébé qui est assis sur un muret dans la cour derrière le triplex familial. Une voisine le regarde.

Ancienne fonctionnaire municipale, mais aussi militante, Joaquina Pires dévoile les traces laissées par la communauté portugaise dans le quartier Saint-Louis. L’esprit du lieu est-il au rendez-vous?

Plan coloré de la cité de Sainte-Cunégonde en 1890

Quartier industriel vibrant à la fin du XIXe siècle, la Petite-Bourgogne a hébergé plusieurs communautés culturelles au cours de son histoire.

Vue aérienne oblique du secteur du Red Light, avec le pont Jacques-Cartier en arrière-plan.

Le Red Light est en transformation dans les années d’après-guerre. Malgré sa réputation sulfureuse, le quartier reste résidentiel et une partie de sa population ne profite pas des activités illégales.

Une cinquantaine de personnes sont assisses sur les escaliers devant l’hôtel de ville de Montréal, pancartes à la main.

Engagés dans la défense des droits des locataires montréalais, des comités logement se forment au début des années 1970 pour préserver le droit à un logis.