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Une trentaine de personnes sont assises sur des chaises en cercle dans une grande salle.

Depuis les années 1970, les groupes autochtones se mobilisent dans la métropole québécoise pour se rendre visibles les uns aux autres et pour mettre en valeur leur culture.

Fotografia a cores de uma mulher sorridente em plano aproximado, tirada no exterior.

Joaquina Pires fait partie de ces personnes, anonymes auprès du grand public, qui contribuent à améliorer notre société. Depuis toujours, elle soutient les immigrantes et les immigrants de Montréal.

Photo couleur de vingt-deux femmes posant devant une maison de briques rouges de trois étages avec un portique avec des colonnes blanches.

En 1973, le Centre des femmes de Montréal ouvre ses portes pour offrir des services en adéquation avec les demandes des femmes. Depuis 1976, il occupe une maison emblématique de Milton Parc.

Portrait de Marie-Josèphe-Angélique par l’artiste Marie-Denise Douyon.

Condamnée pour incendiat, Angélique était une esclave noire, arrivée à Montréal en 1729. Les documents du procès dévoilent certains pans de la vie de cette jeune femme, révoltée ou bouc émissaire.

Une fillette assise dans un escalier, tête penchée vers l’avant, coudes sur les genoux et mains devant les yeux. Devant elle, une femme est assise plus bas, regard tourné vers l’enfant et main posée sur les genoux de la fillette.

De 1947 à 1967, l’Institut Notre-Dame-de-la-Protection, ancêtre du Chaînon, a servi de foyer à de nombreuses fillettes et jeunes filles. Les Associées prenaient alors le rôle de maman.

Une femme debout tient une porte ouverte pour une femme et un enfant que l’on voit de dos. Sur la gauche, une plaque où est écrit : « Maison d’Accueil ».

Au cours des décennies, dans un environnement sécuritaire et chaleureux, les diverses Maisons d’accueil du Chaînon ont offert des services adaptés à des fillettes et à des femmes de tous âges.

Deux femmes portant un manteau transportent des légumes avec une brouette.

La foi en la Providence a guidé Yvonne Maisonneuve et les Associées dans leur œuvre charitable. La Providence est-elle à l’origine de la profonde solidarité qui anime toujours l’association?

Cinq femmes assises et cinq femmes debout derrière. En arrière-plan, des arbres.

Fondé en 1983, le Collectif des femmes immigrantes du Québec porte les revendications des immigrantes et facilite leur intégration à la société québécoise et au marché du travail.

Deux wagons de train. Deux passagères marchent sur le quai avec leur valise. Une femme tend la main à une fille dans les escaliers du wagon, derrière elle, une fille est debout. Par une des fenêtres, on voit deux femmes sourire.

Au milieu du XXe siècle, Le Chaînon a œuvré pour prévenir la déchéance des jeunes filles. Il a notamment accueilli, dans les gares et le port de Montréal, les nouvelles citadines démunies.

Une femme souriante tient un rouleau de peinture et un homme avec une casquette et des lunettes ouvre un pot de peinture en grimaçant. Derrière eux, des tablettes vides.

À partir de 1971, et pendant plus de 30 ans, l’humoriste Yvon Deschamps et l’artiste Judi Richards ont été porte-paroles du Chaînon. Leur fervent engagement résonne toujours dans l’esprit du public.