À la fin des années 1970, des milliers de réfugiés vietnamiens s’installent à Montréal. Dès lors se construit une complexe relation avec le Quartier chinois.
En 1945, les Chinois de Montréal organisent un grand défilé célébrant la fin de la guerre. Toute la population de la ville est conviée à des festivités pittoresques et d’envergure.
« L’âme éternelle de la vieille Chine danse, la nuit, dans la ville chinoise de Montréal. » La Revue Moderne évoque ainsi, en 1937, un espace exotique toujours bien connu des Montréalais.
De l’opéra cantonais aux expositions d’art contemporain, la foisonnante histoire de l’art chinois à Montréal.
Liée à l’entreprise Wing, à deux édifices patrimoniaux et à la communauté du Quartier chinois, la collection Wings révèle une histoire socioéconomique de Montréal. Mais son avenir est incertain.
Espace de partage culturel et lieu de rencontres intergénérationnelles, le Centre communautaire catholique chinois est un symbole de stabilité au sein du Quartier chinois.
L’Hôpital chinois est un des emblèmes de la communauté sinophone de Montréal. Une statue de Confucius veille sur cette institution unique en son genre, inaugurée en 1918.
Œuvrant au sein de la communauté sino-cambodgienne de Montréal, l’ACCC s’est adaptée à l’évolution des besoins de ses membres, allant du soutien aux réfugiés à la transmission culturelle.
La population chinoise immigrante à Montréal a augmenté de façon vertigineuse depuis les deux dernières décennies. En 2016, elle constituait 5,1 % de l’ensemble des immigrants récents.
Depuis le XIXe siècle, les immigrants chinois ont transformé à leur façon le paysage culturel de Montréal.