Les Portugais de Montréal célèbrent annuellement la fête religieuse du Senhor Santo Cristo dos Milagres. Ces festivités, incluant cortège et fanfares, attirent des Montréalais de toutes origines.
Attiré par la Révolution tranquille, le photographe portugais Jorge Guerra s’installe à Montréal en 1970. Il y poursuit une œuvre imprégnée de réalisme et marque la vie culturelle de la métropole.
Qu’ils soient parmi les fondateurs de la ville ou arrivés au XXIe siècle, les immigrants de l’Ouest et du Sud de l’Europe colorent Montréal de leur présence séculaire.
Ancienne fonctionnaire municipale, mais aussi militante, Joaquina Pires dévoile les traces laissées par la communauté portugaise dans le quartier Saint-Louis. L’esprit du lieu est-il au rendez-vous?
Joaquina Pires fait partie de ces personnes, anonymes auprès du grand public, qui contribuent à améliorer notre société. Depuis toujours, elle soutient les immigrantes et les immigrants de Montréal.
Ayant quitté ses Açores natales en 1958, José-Louis Jacome commence une tout autre vie à Montréal. Il a huit ans et découvre l’hiver, l’hostilité, mais aussi la modernité et l’abondance.
José-Louis Jacome nous entraîne dans les quartiers de la Petite Italie et de Villeray où, enfant immigrant, il a vécu ses premières expériences montréalaises.
La quête de José-Louis Jacome pour retrouver ses racines raconte bien plus qu’une histoire personnelle, elle témoigne des débuts de l’immigration des Açoriens à Montréal.
Alors qu’il menait des recherches personnelles sur ses origines, José-Louis Jacome, Montréalais né aux Açores, a fait une rencontre déterminante. Sa quête a ainsi pris une nouvelle envergure.
Comment vivre les transformations et tensions de l’adolescence entre Révolution tranquille et traditions açoriennes? José-Louis Jacome raconte son intégration à sa nouvelle vie montréalaise.