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Sœur Marie-Noémie et Sœur Saint-Honoré prodiguent des soins à des patients de l’Hôpital chinois.

Au début du XXe siècle, les Sœurs Missionnaires de l’Immaculée-Conception tissent des liens avec la Chine. Certaines y résident dès 1909, d’autres se consacrent à la communauté chinoise de Montréal.

Les responsables de l’hôpital chinois ) et les soeurs Marie-du-Saint-Sacrement, Marie-de-la-Visitation et Gertrude Campbell sont photographiés devant le premier bâtiment de l’hôpital, rue Clarke.

L’Hôpital chinois est un des emblèmes de la communauté sinophone de Montréal. Une statue de Confucius veille sur cette institution unique en son genre, inaugurée en 1918.

Scène de rue dans le Quartier chinois en 1966.

Depuis le XIXe siècle, les immigrants chinois ont transformé à leur façon le paysage culturel de Montréal.

Édifices sur la rue Craig (aujourd’hui Saint-Antoine), dont la buanderie Song Long.

À la fin du XIXe siècle, Jos Song Long et sa buanderie intriguent les Montréalais : il est le premier immigrant d’origine chinoise à établir un commerce dans la ville.

Délia Tétreault devenue sœur Marie-du-Saint-Esprit

Fondatrice de la première communauté de femmes missionnaires au Canada, Délia Tétreault a œuvré à Montréal. Mais son action a retenti jusqu’en Asie de l’Est.

Le 2 septembre 1945, le défilé de la Victoire parade sur la rue De La Gauchetière Ouest dans le Chinatown. En avant-plan, un petit garçon porte une pancarte de l’association Chinese Free Mason.

En 1945, les Chinois de Montréal organisent un grand défilé célébrant la fin de la guerre. Toute la population de la ville est conviée à des festivités pittoresques et d’envergure.

Foule qui célèbre dans le Quartier chinois. On peut lire sur une banderole "V-J Day celebration by the Chinese community of Montreal".

Au XXe siècle, trois partis politiques organisent la communauté sino-montréalaise. Ils maintiennent aussi un lien avec la mère patrie et favorisent la solidarité entre les Chinois de Montréal.

Pierre tombale d’Edith Maud Eaton, cimetière Mont-Royal

Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.

Photo couleur d’une femme et d’un homme se tenant debout collés l’un contre l’autre devant un édifice dans le quartier chinois.

Arrivés à Montréal en 1993, Ju Ming Zhou et Hui Qing Liang poursuivent la tradition familiale en ouvrant un commerce spécialisé dans les pâtisseries de Guangzhou.

Photo couleur plein pied de trois hommes souriant posant debout devant un restaurant.

Peu d’expériences culinaires capturent l’éclectisme et le service effréné du cha chaan teng (茶餐廳, se traduisant par « restaurant à thé »).