L’élite montréalaise du XIXe siècle forme de nombreuses sociétés savantes pour favoriser la science et la culture. L’une d’entre elles lutte déjà pour préserver le patrimoine montréalais.
Imaginez un décor forestier, des murs de pierre, vieux de plus de trois siècles, en ruine... Difficile à croire, mais une telle scène existe bel et bien à l’abri des regards sur l’île de Montréal!
À deux reprises, à 157 ans d’intervalle, le site Dawson, situé au centre-ville de Montréal, a révélé des vestiges du seul village des Iroquoiens du Saint-Laurent retrouvé sur l’île.
Témoins des premiers établissements français, les alentours de la maison d’Étienne Nivard de Saint-Dizier ont révélé un des principaux sites archéologiques autochtones de l’île de Montréal.
Qui se cache sous les bandelettes millénaires de la momie de l’UQAM? Quel est le parcours de cet antique témoignage d’une civilisation éteinte? Bref retour sur Hetep-Bastet, un trésor mystérieux.
Éminent chirurgien connu pour son rôle primordial dans la diffusion de l’antisepsie au Canada, sir Thomas George Roddick fut également un égyptophile averti. Il a fait un généreux don à Montréal.
Comment vivaient les Autochtones qui occupaient l’île de Montréal? Certaines découvertes archéologiques fournissent les indices indispensables pour comprendre et décrire leur vie quotidienne.
L’histoire du Mile End rural reste mal connue. Quelques témoignages du XIXe siècle offrent toutefois un éclairage précieux sur la naissance d’un des quartiers les plus emblématiques de Montréal.
Deux belles tours rondes sur la rue Sherbrooke Ouest sont les derniers vestiges d’une grosse mission autochtone située sur le versant sud du mont Royal à la fin du XVIIe siècle.
La courte vie de la mission autochtone de la Nouvelle-Lorette ou quand les autorités coloniales manigancent afin de créer la paroisse du Sault-au-Récollet.