Depuis les années 1960, la musique latino-américaine s’est épanouie à Montréal. Riche de multiples origines, influences et fusions, elle a créé un pont entre les populations immigrantes et d’accueil.
Les Montréalais adoptent la bicyclette dès la fin du XIXe siècle. Le vélo est ensuite déclassé par le tramway et l’automobile, mais il revient en force 100 ans après son arrivée en Amérique.
Au début du XXe siècle, les Montréalais raffolent des « vues animées », malgré les réprimandes du clergé. Cet engouement pour le cinéma ne sera pas étouffé et persistera.
Depuis 1924, l’œuvre de la fondation Campbell est un bel exemple de la démocratisation de la musique à Montréal, et de l’influence de la tradition protestante sur ce mouvement.
À la fin du XIXe siècle, les divertissements se démocratisent. À un point tel que les manifestations populaires et culturelles font maintenant partie intégrante du paysage estival de Montréal.
À partir des années 1880, de nombreux clubs sportifs et les premiers Carnavals d’hiver offrent de nouveaux divertissements à l’élite bourgeoise montréalaise. Mais ces plaisirs lui sont réservés.
Au cours du XXe siècle, au-delà des barrières linguistique et culturelle, le hockey devient un véritable phénomène culturel. Quelle est l’origine de ce sport? Et quelle a été son évolution?
En 1919, des émissions expérimentales sont diffusées à Montréal sous l’indicatif XWA. Un an plus tard, la XWA devient la première station radiophonique au monde à émettre selon un horaire régulier.
L’industrie touristique montréalaise prend son envol dès l’aube du XIXe siècle. Et déjà, les touristes apprécient les villages autochtones, les rapides de Lachine et les sports d’hiver!
Petit chemin de campagne au milieu du XVIIIe siècle, la rue Sainte-Catherine devient une artère commerciale majeure à partir de 1890. Dès lors, elle entre dans le cœur des Montréalais.