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Six musiciens se trouvent sur scène et jouent

Bien implantées dans leur milieu, les maisons de la culture de Montréal travaillent depuis 40 ans à resserrer le tissu social dans les quartiers où elles se trouvent.

Quatre hommes et quatre femmes sont assis autour d’une table carrée sur laquelle se trouvent des feuilles de papier et des crayons.

Fondé en 1968, le Carrefour d’éducation populaire de Pointe-Saint-Charles est depuis au cœur de la vie communautaire du quartier.

Six garçons et filles regardent des photos collées sur le plafond et les murs d’une petite maison.

Accessibles et audacieuses, les maisons de la culture de Montréal sont, dès les années 1980, des lieux innovants de démocratisation culturelle.

Une cinquantaine d’élèves accompagnés de parents font un pique-nique à l’extérieur.

À la fin du XIXe siècle, les écoles montréalaises existantes accueillent un nombre croissant d’élèves immigrants. Cependant, des écoles portées par les communautés culturelles voient aussi le jour.

Une cinquantaine de personnes sont assisses sur les escaliers devant l’hôtel de ville de Montréal, pancartes à la main.

Engagés dans la défense des droits des locataires montréalais, des comités logement se forment au début des années 1970 pour préserver le droit à un logis.

Vue de haut d’un escalier et de étages d’un bâtiment. Une dizaine de personnes montent l’escalier. Aux deux étages, des gens sont rassemblées.

En 1981, une première maison de la culture ouvre ses portes à Montréal dans l’objectif de rendre la culture plus accessible dans les quartiers de la ville.

Quinze élèves se tiennent debout, en file. En arrière plan, une enseignante et des élèves.

Créées en 1969, les classes d’accueil se déploient après l’adoption de la Charte de la langue française en 1977. Dans les années 2000, elles se multiplient pour répondre à une demande grandissante.

Des dizaines de personnes manifestent dans la rue en tenant des pancartes.

Depuis plusieurs décennies, le mouvement communautaire joue un rôle décisif pour l’avancement des droits de la personne et pour la justice sociale à Montréal.

Une quinzaine de personnes se tiennent derrière deux  grandes bannières, l’une rouge, l’autre blanche. On peut y lire : « Arrêtez la violence, arrêtez le mépris, Stella »

En 1995, un groupe de travailleuses du sexe fondent l’organisme Stella, l’amie de Maimie afin de d’améliorer leur qualité de vie et leurs conditions de travail à Montréal.

Une trentaine de personnes sont assises sur des chaises en cercle dans une grande salle.

Depuis les années 1970, les groupes autochtones se mobilisent dans la métropole québécoise pour se rendre visibles les uns aux autres et pour mettre en valeur leur culture.