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Trois hommes et une femme siègent à une table, côté à côte. On peut lire sur une affiche accrochée derrière eux : Bureau de consultation de Montréal. Consultation publique sur le projet de redéveloppement du marché Bonsecours.

La volonté des Montréalaises et Montréalais d’être consultés dans les débats sur l’aménagement s’exprime tôt dans l’histoire de la ville, et de plus en plus fermement au milieu du XXe siècle. 

Six personnes travaillent sur une grande affiche blanche posée sur une table. Des crayons de couleur sont sur la table.

En janvier 2002, l’Office de consultation publique de Montréal voit le jour au même moment que la nouvelle Ville de Montréal.

Une maquette montre une route et des petites voitures dans un environnement urbain.

Lors de certaines consultations, l’OCPM convie les Montréalaises et les Montréalais à participer à des réflexions visionnaires et à influencer l’avenir de la ville dans son ensemble.

Un policier, à gauche, tient un homme attaché, au centre, qui est en train de se faire vacciner par un médecin.

Pour contrer l’épidémie de variole qui sévit à Montréal en 1885, le maire Honoré Beaugrand incite la population à se faire vacciner, mais cette idée suscite appréhensions et polémiques.

Quinze élèves se tiennent debout, en file. En arrière plan, une enseignante et des élèves.

Créées en 1969, les classes d’accueil se déploient après l’adoption de la Charte de la langue française en 1977. Dans les années 2000, elles se multiplient pour répondre à une demande grandissante.

Une cinquantaine d’élèves accompagnés de parents font un pique-nique à l’extérieur.

À la fin du XIXe siècle, les écoles montréalaises existantes accueillent un nombre croissant d’élèves immigrants. Cependant, des écoles portées par les communautés culturelles voient aussi le jour.

Des dizaines de personnes manifestent dans la rue en tenant des pancartes.

Depuis plusieurs décennies, le mouvement communautaire joue un rôle décisif pour l’avancement des droits de la personne et pour la justice sociale à Montréal.

Quatre hommes et quatre femmes sont assis autour d’une table carrée sur laquelle se trouvent des feuilles de papier et des crayons.

Fondé en 1968, le Carrefour d’éducation populaire de Pointe-Saint-Charles est depuis au cœur de la vie communautaire du quartier.

Une cinquantaine de personnes sont assisses sur les escaliers devant l’hôtel de ville de Montréal, pancartes à la main.

Engagés dans la défense des droits des locataires montréalais, des comités logement se forment au début des années 1970 pour préserver le droit à un logis.

Une quinzaine de personnes se tiennent derrière deux  grandes bannières, l’une rouge, l’autre blanche. On peut y lire : « Arrêtez la violence, arrêtez le mépris, Stella »

En 1995, un groupe de travailleuses du sexe fondent l’organisme Stella, l’amie de Maimie afin de d’améliorer leur qualité de vie et leurs conditions de travail à Montréal.