De 1940 à 1960, sortir à Montréal n’est pas banal, car toutes les grandes stars européennes et américaines s’y produisent, et les autorités sont peu regardantes quant aux mœurs et au couvre-feu.
En tant que cité du divertissement, Montréal est à son apogée de 1940 à 1960. Toute une économie des plaisirs nocturnes pour adultes s’y développe alors.
À la fin du XIXe siècle, les écoles montréalaises existantes accueillent un nombre croissant d’élèves immigrants. Cependant, des écoles portées par les communautés culturelles voient aussi le jour.
L’histoire du Mile End au XXe siècle est étroitement associée à celle de la communauté juive. Deux institutions, aux visées contrastées, y ont profondément laissé leur marque.
Qui étaient les Hochelaguiens rencontrés par Jacques Cartier en 1535 sur la future île de Montréal? Iroquoiens du Saint-Laurent, ils faisaient partie d’un vaste ensemble culturel.
La maison Déloche, érigée en plein cœur de l’ancien village Saint-Augustin, figure parmi les plus anciennes résidences du secteur qu’on appelle aujourd’hui « Saint-Henri ».
Tanneries et carrières ont fortement marqué l’histoire du Mile End, car elles ont conduit à l’édification d’un premier village, puis à la création de la municipalité de la Côte-Saint-Louis.
Le 9 septembre 2017 est inauguré le parc Sarah-Maxwell en l’honneur de celle qui, le 26 février 1907, donna sa vie pour sauver les élèves de son école. Son histoire mérite d’être mieux connue.
Créé dans les années 1920, le Palais des Nains est une des attractions de Montréal qui attirent alors les touristes. Ici, excentricité et divertissement populaire sont de mise!
Dès la fin du XVIIIe siècle, un secteur du Vieux-Montréal est consacré à l’administration civile et à la justice. Encore de nos jours, juristes et fonctionnaires municipaux s’y activent.