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Photo en noir et blanc de trois adolescents dans la cour arrière de la maison familiale.

Comment vivre les transformations et tensions de l’adolescence entre Révolution tranquille et traditions açoriennes? José-Louis Jacome raconte son intégration à sa nouvelle vie montréalaise.

Seis açorianos pousam em frente a uma casa com uma bandeira.

Les premiers Açoriens ont immigré à Montréal dans les années 1950. Ils évoquent leur premier travail, les difficultés familiales ou administratives, mais aussi la naissance d’une communauté.

Fotografia a preto e branco de quatro homens, de pé, em frente a uma árvore. Apenas um tem sapatos.

Les premiers immigrants açoriens sont arrivés à Montréal en 1953 et 1954. Les témoignages de ces pionniers livrent les raisons du départ, les conditions du voyage, les difficultés de l’arrivée.

Capture d’écran du clip montrant Joaquina et José-Louis assis et discutant

Alors qu’il menait des recherches personnelles sur ses origines, José-Louis Jacome, Montréalais né aux Açores, a fait une rencontre déterminante. Sa quête a ainsi pris une nouvelle envergure.

José-Louis Jacome en compagnie de Madalena da Costa et José Manuel Pereira

La quête de José-Louis Jacome pour retrouver ses racines raconte bien plus qu’une histoire personnelle, elle témoigne des débuts de l’immigration des Açoriens à Montréal.

Impressão de ecrã de um clipe: José-Louis mostra uma fotografia tirada de quando era criança, no local onde foi tirada 60 anos depois.

José-Louis Jacome nous entraîne dans les quartiers de la Petite Italie et de Villeray où, enfant immigrant, il a vécu ses premières expériences montréalaises.

Boulevard Saint-Laurent en direction nord, prise à partir de la rue Vitré (aujourd'hui l'avenue Viger). On peut remarquer sur le flanc gauche une succession d'édifices abritant différents commerces dont l’édifice Robillard.

Dévasté par un incendie en 2016, l’édifice Robillard avait une valeur patrimoniale indéniable. De 1896 à 1897, il avait abrité la première salle exclusivement cinématographique du Canada.

Photo en noir et blanc en gros plan d’une jeune fille souriante. Derrière elle, un immeuble à appartements.

Les circonstances ont conduit Éva Böröcz, très jeune Hongroise en quête de liberté, dans le Montréal des années 1950. Avec ténacité et enthousiasme, elle y a bâti les débuts d’une vie accomplie.

Photographie couleur de Griffintown le soir, vu du sud de Montréal.

Au XXe siècle, un inexorable déclin marque Griffintown : la population quitte les taudis tandis que l’industrie s’essouffle. Pendant les années 1990 s’amorce pourtant un spectaculaire retour à la vie.

Photographie en hauteur du quartier et du canal Lachine, vue vers le sud.

Domaine agricole sous le Régime français, Griffintown devient un des pivots de l’industrialisation montréalaise au XIXe siècle. C’est seulement une des étonnantes transformations qu’il a connues.