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Scène au bord de l’eau avec un ciel de soirée aux couleurs chaudes et neuf personnes assises sur un quai.

Les berges de l’île de Montréal ont été grandement transformées par le développement portuaire et l’urbanisation. Des pressions citoyennes ont toutefois permis d’en revitaliser certaines portions.

Piste multifonctionnelle longeant une voie ferrée

Territoire agricole puis zone industrielle marquée par le chemin de fer, La Petite-Patrie, quartier du marché Jean-Talon et de la Plaza St-Hubert, invite à découvrir sa riche histoire.

Une douzaine d’hommes sont debout devant un commerce. La rue est inondée. Certains ont les pieds dans l’eau, d’autres sont sur une planche ou dans l’entrée d’un commerce.

En 2016, Maurice Day témoigne de l’histoire et du quotidien de Longue-Pointe avant la démolition du cœur villageois en 1964 due à la construction du pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine.

Photographie d’une plaque d’adresse rectangulaire avec les chiffres 8421 écrits en blanc sur fond bleu.

De nombreux bâtiments montréalais possèdent toujours leurs plaques d’adresse émaillées bleu et blanc. Apparues au début du XXe siècle, elles sont aujourd’hui en voie de disparaître.

Photo en noir et blanc d’une rangé de maisons du côté gauche d’une rue et du côté droit, travaux de construction montrant une longue tranchée.

Datant de la fin du XIXe siècle, les demeures d’inspiration victorienne de la rue May ont disparu en 2015. Car cette ancienne voie a fait place au tout nouveau pont Samuel-De Champlain.

Photo en noir et blanc d’un parc urbain avec plusieurs arbres matures et des édifices en arrière-plan.

Dans ce lieu, dont la vocation sera tour à tour religieuse, administrative et récréative, commence l’histoire d’Hochelaga dans la première moitié du XIXe siècle.

Photo prise en début de soirée d'une petite maison ancienne de Saint-Henri

La maison Déloche, érigée en plein cœur de l’ancien village Saint-Augustin, figure parmi les plus anciennes résidences du secteur qu’on appelle aujourd’hui « Saint-Henri ».

Dessin représentant des ouvriers et des chevaux travaillant à l’extraction de pierres dans une carrière.

Tanneries et carrières ont fortement marqué l’histoire du Mile End, car elles ont conduit à l’édification d’un premier village, puis à la création de la municipalité de la Côte-Saint-Louis.

Carte présentant le tracé des rues de différentes municipalités, parmi lesquelles « Saint-Louis du Mile End » apparaît. On peut également y voir les inscriptions « Mile End Station » ainsi que « Mile End P.O. ».

Le secteur qui deviendra le quartier montréalais du Mile End porte ce nom depuis la première moitié du XIXe siècle. Les habitants l’ont baptisé ainsi pour trois raisons.

Photo noir et blanc de Frederick G. Todd, conseiller municipal

En 1900, un jeune Américain, apparemment le premier architecte paysagiste installé à Montréal, se lance dans l’aventure : créer d’inspirants havres de nature dans une trépidante ville moderne.