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 Photographie couleur de la façade d’une église. Sur la partie droite, il y a une mosaïque et, sur la partie gauche, sur la tour, une croix est visible.

Au cours des XIXe et XXe siècles, divers groupes d’immigrants érigent dans Milton Parc des lieux de culte propres à leur confession. Ils servent leur foi, mais aussi le lien social.

Gravure sur laquelle deux bâtiments sont visibles au bout d’une allée bordée d’arbres. Le bâtiment à l’avant-plan est surmonté d’une coupole. Une carriole est à droite, vers le centre de l’image.

Fondée il y a plus de deux siècles grâce à un don de James McGill, l’université McGill est alors précurseure dans bien des domaines. Son expansion lui a assuré une notoriété internationale.

Plusieurs voies de circulation s’entrecroisent à des hauteurs différentes. Plusieurs voitures sont visibles au coin inférieur droit. On aperçoit l’Hôtel-Dieu de Montréal, en haut à droite à l’arrière de l’échangeur.

Stratégique dès le XIXe siècle, un croisement routier de Milton Parc est doté, de 1959 à 2008, d’une infrastructure controversée. Aujourd’hui, sécurité et échelle humaine ont été retrouvées. 

Une femme aux cheveux gris se tient devant un édifice dont un mur est en briques. Sur ce mur, le dessin d’une maison victorienne a été peint.

La renommée architecte montréalaise Phyllis Lambert est une ardente défenseure du patrimoine et de la démocratie participative. Elle a notamment soutenu les citoyens de Milton Parc.

Carte postale colorisée montrant une rue avec un homme au centre, bordée d’arbres et d’édifices.

Dans le quartier Milton Parc, les Montréalais reçoivent depuis 1843 divers soins médicaux dans d’autres établissements que l’Hôtel-Dieu, qui ont aussi formé de nombreuses infirmières.

Façade de la maison Notman en 1893.

Parmi les magnifiques villas du XIXe siècle qui subsistent à Montréal, figure la maison William-Notman. De style néoclassique, elle fut achevée en 1845 selon les plans de John Wells.

Maisons de trois étages en pierres grises le long d’une rue.

Sauvées de la démolition par le Comité citoyen de Milton Parc dans les années 1970, des maisons de chambres offrent un milieu de vie et un loyer abordable aux personnes démunies du quartier.

Carte en sépia montrant un espace clairsemé avec peu d’habitations. Les mots COTE à BARON sont visibles en caractères noirs en haut au centre de l’image.

Jusqu’au début du XIXe siècle, les secteurs de la côte à Baron et du mont Sainte-Famille évoluent en parallèle. Par la suite, l’urbanisation accélérée fait naître Milton Parc de leur jonction.

Publicité en anglais. Un ours muselé est visible dans la partie supérieure de l’encart. Des typographies différentes sont utilisées pour chacune des lignes et les tarifs pour l’entrée apparaissent tout en bas de l’encart.

Au cours du XIXe siècle, les Montréalais ont pu visiter cinq jardins appartenant à J. É. Guilbault. Évoluant de la pépinière au parc d’attractions, ces lieux étaient alors dans l’air du temps.

Photo couleur montrant la façade d’un bâtiment imposant.

Inaugurée en 1923, l’École des beaux-arts de Montréal offre une formation publique et professionnelle dans le domaine des arts. Elle comble ainsi un criant besoin, économique comme politique.