Réalisateur et enseignant, Giovanni Princigalli interroge le professeur d’histoire universitaire, Bruno Ramirez, sur l’orientation politique des immigrants italiens de Montréal.
Les Italiens de Montréal ont inventé un argot qui leur est propre. Une étude sociolinguistique explore ses liens avec plusieurs langues et dialectes, et souligne ses étonnantes spécificités.
Dans les années 1930, quelques Italo-Montréalais portent la chemise noire. Peu significatif pour le commun des citadins, le port de cet habit révèle pour les Italiens un appui au régime fasciste.
Comme beaucoup d’Italiens, la famille Di Feo a quitté son pays en quête d’une vie meilleure. Installé à Montréal, Francesco a poursuivi cet idéal en s’engageant dans la lutte syndicale.
Cette émouvante valise contient le trousseau de mariage d’une Italienne venue à Montréal avec ses trois enfants pour y rejoindre son mari et y immigrer.
Qu’ils soient parmi les fondateurs de la ville ou arrivés au XXIe siècle, les immigrants de l’Ouest et du Sud de l’Europe colorent Montréal de leur présence séculaire.
Emilia De Minico, une Italo-Montréalaise installée dans le Mile-End depuis 1960, nous confie quelques-uns de ses souvenirs d’immigration.
Le Hall Mazzini, le commerce de la famille Di Lallo ou encore l’église Saint-Jean-Bosco révèlent l’importance de la communauté italienne installée dans Ville-Émard dès le début de son développement.
La famille Di Lallo a rendu bien des services à Ville-Émard, son quartier d’adoption. Ces immigrants italiens y ont créé, entre autres, un fameux restaurant et une équipe de hockey de renom.
Guido Nincheri fabrique des vitraux dans un local du boulevard Pie-IX, dès le milieu des années 1920. Il crée des centaines d’œuvres exceptionnelles dans cet atelier maintenant accessible au public.