Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.
L’entrée des femmes dans le Service de police de Montréal est effective dès la fin du XIXe siècle. Mais, dès lors, leur pleine acceptation a connu bien des reculs et des avancées.
Dans les années 1930, deux activistes montréalaises sont à la tête de nouvelles émissions radiophoniques consacrées aux droits des femmes. Leur message est entendu aux quatre coins de la province!
Durant le Régime français, la profession de sage-femme est une des seules que peuvent pratiquer les femmes. Anne Courtemanche est une des premières sages-femmes connues de Longue-Pointe.
Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.
Dans les années 1940, l’Américaine Lili St-Cyr, véritable légende du striptease, considère Montréal comme sa « vraie patrie ».
Le 9 septembre 2017 est inauguré le parc Sarah-Maxwell en l’honneur de celle qui, le 26 février 1907, donna sa vie pour sauver les élèves de son école. Son histoire mérite d’être mieux connue.
Première Canadienne française médecin, Irma LeVasseur est à l’origine de la fondation, en 1907, du premier hôpital pour les enfants malades canadiens-français de Montréal.
Le célèbre médecin canadien a été marié deux fois à la même femme! Après l’échec de cette relation avec une belle Écossaise, il tombe amoureux d’une artiste montréalaise dont le cœur est déjà pris.
Cléophée Têtu se distingue parmi les religieuses ayant œuvré pour la santé ou l’éducation, car elle a mis sur pied l’Asile Saint-Jean-de-Dieu, qui est devenu une institution montréalaise.