Une quinzaine de visites à l’Expo 67 ont marqué Jean Huard pour la vie. Avec enthousiasme, il évoque les activités, les lieux et les découvertes, sans oublier sa collection de souvenirs.
En 1923, les Montréalais reçoivent un cadeau aussi inespéré que généreux. Dans son testament, l’avocat Charles Campbell leur offre, notamment, parcs et concerts gratuits.
À la fin du XIXe siècle, les divertissements se démocratisent. À un point tel que les manifestations populaires et culturelles font maintenant partie intégrante du paysage estival de Montréal.
Depuis 1924, l’œuvre de la fondation Campbell est un bel exemple de la démocratisation de la musique à Montréal, et de l’influence de la tradition protestante sur ce mouvement.
Alors jeune fille de 20 ans, Diane Groulx a travaillé tout l’été 1967 à l’Expo. L’expérience l’a transformée et lui a permis de réaliser l’immensité du monde à découvrir.
L’été, Henri Malo amenait les Montréalais en bateau vers une petite île du lac Saint-Louis. Là, une plage magnifique et aménagée les invitait à se détendre et à s’évader.
De 1897 à 1985, la clientèle du Maples a pu profiter du lac Saint-Louis, mais aussi des équipements de l’hôtel : une plage, un quai, un terrain de tennis, le premier mini-golf du Canada…
Le 11 juillet 1940, Conrad Poirier photographie une troupe de théâtre sur les quais du club d’aviron de Lachine. Pour les amateurs de théâtre d’été, les jeunes artistes allègent le climat de guerre.
Entre 1901 et 1906, les fêtes du 14 juillet, présentées au parc Riverside de la ville de Maisonneuve, étaient célébrées avec un faste hors du commun.
Dès la fin du XIXe siècle, le charme de Pointe-Claire attire bien des vacanciers montréalais. Là, ils profitent de clubs de navigation, de terrains de sport, mais aussi, admirent les premiers avions.