Fondé en 1983, le Collectif des femmes immigrantes du Québec porte les revendications des immigrantes et facilite leur intégration à la société québécoise et au marché du travail.
À la fin du XIXe siècle, le fleuve gelé en hiver sur toute sa largeur force au chômage les débardeurs du port de Montréal. Cependant, des hommes s’activent au milieu de cette « banquise » d’eau douce.
Montréal n’est pas épargné par les conflits de travail qui, de 1918 à 1921, marquent l’Amérique du Nord. En décembre 1918, quatre syndicats d’employés municipaux votent une grève qui sera historique.
Dans Parc-Extension, des générations d’hommes et de femmes de diverses origines ont construit leur histoire montréalaise au quotidien.
Créée en 1872, la filature de Victor Hudon restera toujours pour les gens de Hochelaga « la Hudon », malgré plusieurs fusions. Il est vrai qu’elle a marqué l’histoire industrielle du quartier.
Joaquina Pires fait partie de ces personnes, anonymes auprès du grand public, qui contribuent à améliorer notre société. Depuis toujours, elle soutient les immigrantes et les immigrants de Montréal.
Arrivée à Verdun à partir du début du XXe siècle, une communauté d’expatriés madelinots s’y est enracinée.
Bonne ou aide familiale, cette travailleuse fait partie de la réalité montréalaise depuis des siècles. Cette profession peu reconnue a cependant évolué au fil du temps et a su gagner ses galons.
Depuis 1972, le Centre N A Rive aide des immigrants, originaires d’Haïti et d’ailleurs, à s’intégrer à la société montréalaise, en appliquant les principes de l’économie sociale et solidaire.
Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.