Bonne ou aide familiale, cette travailleuse fait partie de la réalité montréalaise depuis des siècles. Cette profession peu reconnue a cependant évolué au fil du temps et a su gagner ses galons.
Depuis le début du XXe siècle, de multiples associations puis organismes communautaires ont joué un rôle crucial pour accompagner les femmes montréalaises dans différents aspects de leur vie.
En 1995, un groupe de travailleuses du sexe fondent l’organisme Stella, l’amie de Maimie afin de d’améliorer leur qualité de vie et leurs conditions de travail à Montréal.
Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.
Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.
Avec toujours autant d’acuité, le roman de Gabrielle Roy, Bonheur d’occasion, entraîne le lecteur au cœur du quartier Saint-Henri et témoigne de la dureté de la vie des ouvriers d’alors.
Lieu essentiel pour la communauté noire de la Petite-Bourgogne et de Montréal, l’Union United Church est associée à deux figures marquantes, Anne Greenup et le révérend Charles Este.
Pour le droit de suffrage féminin, l’accès à l’éducation ou l’amélioration des conditions de travail, Marie Gérin-Lajoie tente de réformer la société, et lutte en faveur d’un monde plus juste.