Œuvrant au sein de la communauté sino-cambodgienne de Montréal, l’ACCC s’est adaptée à l’évolution des besoins de ses membres, allant du soutien aux réfugiés à la transmission culturelle.
Peu d’expériences culinaires capturent l’éclectisme et le service effréné du cha chaan teng (茶餐廳, se traduisant par « restaurant à thé »).
À la fin des années 1970, des milliers de réfugiés vietnamiens s’installent à Montréal. Dès lors se construit une complexe relation avec le Quartier chinois.
Cette série de balados, produite par le MEM, célèbre l’héritage culturel intangible du Quartier chinois à travers les récits de personnes qui le chérissent. Ici, la voix de Gilbert Lee.
Cette série de balados, produite par le MEM, célèbre l’héritage culturel intangible du Quartier chinois à travers les récits de personnes qui le chérissent. Ici, la voix de Linda Lee.
Cette série de balados, produite par le MEM, célèbre l’héritage culturel intangible du Quartier chinois à travers les récits de personnes qui le chérissent. Ici, la voix de Simon Wing.
Cette série de balados, produite par le MEM, célèbre l’héritage culturel intangible du Quartier chinois à travers les récits de personnes qui le chérissent. Ici, les voix de Suzanne Chan et d’Anthony Chan.
Cette série de balados, produite par le MEM, célèbre l’héritage culturel intangible du Quartier chinois à travers les récits de personnes qui le chérissent. Ici, la voix de Bethany Or.
Dans les années 1970, les leaders de la communauté chinoise de Montréal s’organisent pour préserver une large part du Quartier chinois menacée de démolition.
« L’âme éternelle de la vieille Chine danse, la nuit, dans la ville chinoise de Montréal. » La Revue Moderne évoque ainsi, en 1937, un espace exotique toujours bien connu des Montréalais.