En 1995, un groupe de travailleuses du sexe fondent l’organisme Stella, l’amie de Maimie afin de d’améliorer leur qualité de vie et leurs conditions de travail à Montréal.
Engagés dans la défense des droits des locataires montréalais, des comités logement se forment au début des années 1970 pour préserver le droit à un logis.
Fondé en 1968, le Carrefour d’éducation populaire de Pointe-Saint-Charles est depuis au cœur de la vie communautaire du quartier.
Depuis 1972, le Centre N A Rive aide des immigrants, originaires d’Haïti et d’ailleurs, à s’intégrer à la société montréalaise, en appliquant les principes de l’économie sociale et solidaire.
Depuis plusieurs décennies, le mouvement communautaire joue un rôle décisif pour l’avancement des droits de la personne et pour la justice sociale à Montréal.
Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.
Les conditions de travail des policiers de Montréal s’améliorent dans la première moitié du XXe siècle. La formation et l’équipement se modernisent tandis que les luttes syndicales s’intensifient.
On le surnommait « le médecin des pauvres », et une école portait son nom de son vivant. Portrait du docteur Baril qui eut une énorme influence de 1883 à 1913 dans le quartier Hochelaga.
Ancienne fonctionnaire municipale, mais aussi militante, Joaquina Pires dévoile les traces laissées par la communauté portugaise dans le quartier Saint-Louis. L’esprit du lieu est-il au rendez-vous?
Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.