L'encyclopédie est le site du MEM - Centre des mémoires montréalaises

Résultats de recherche

Affichage 1 à 8 de 8 résultats
M. Lavigne et son orchestre au parc Sohmer en 1890.

À la fin du XIXe siècle, les divertissements se démocratisent. À un point tel que les manifestations populaires et culturelles font maintenant partie intégrante du paysage estival de Montréal.

Un orchestre joue à l’extérieur, devant un édifice de pierre, et une foule assise écoute.

Depuis 1924, l’œuvre de la fondation Campbell est un bel exemple de la démocratisation de la musique à Montréal, et de l’influence de la tradition protestante sur ce mouvement.

Jorge Ross et son orchestre, 13 personnes au total, reçoivent un prix

Depuis les années 1960, la musique latino-américaine s’est épanouie à Montréal. Riche de multiples origines, influences et fusions, elle a créé un pont entre les populations immigrantes et d’accueil.

Photo couleur de la place Jacques-Cartier prise de nuit en hiver avec une mince couche de neige. Des décorations en forme de sapins sont placées en groupe de trois le long de la place. L’enseigne de l’hôtel Nelson est illuminée.

En transition, le Vieux-Montréal des années 1970 attire jeunes et anticonformistes. Sur la place Jacques-Cartier, la salle de spectacle de l’hôtel Nelson est l’un de ses lieux emblématiques.

Le chef d’orchestre Jean Deslauriers au pupitre de l’Orchestre des concerts symphoniques de Montréal, lors d’un concert commandité par la compagnie Dow et radiodiffusé par la station radiophonique de CBC à Montréal

Avant l’essor de la musique préenregistrée, les stations de radio montréalaises s’invitent aux grands concerts et soirées dansantes de la métropole pour diffuser du contenu en direct.

La une de La Presse du 3 mai 1922 intitulée « La Presse fait installer sur le toit de son immeuble le plus puissant poste de radiotéléphonie d’Amérique ».

L’année 1922 marque l’entrée en scène d’un nouveau média à Montréal : la radio commerciale.

Michel Rivard chantant et jouant de la guitare

Michel Rivard passe à l’Expo une grande partie de l’été 1967 qui devient une fête sans fin. Habité par un sentiment de liberté et de dépaysement, l’adolescent y amorce son passage à l’âge adulte.

Groupe de femmes se tenant devant le chantier de construction de la Place des Arts.

Fondé au XIXe siècle par huit musiciennes, ce club anglophone était réservé aux femmes. Toujours actif, il attire aujourd’hui les amateurs de musique classique sans distinction de langue ou de sexe.