Artistes et architectes montréalais se sont inspirés de l’Égypte ancienne pour créer des monuments funéraires ou commémoratifs comme des pavillons éphémères ou un gratte-ciel pérenne.
Petit chemin de campagne au milieu du XVIIIe siècle, la rue Sainte-Catherine devient une artère commerciale majeure à partir de 1890. Dès lors, elle entre dans le cœur des Montréalais.
Après son apogée des années 1940 et 1950, le Montréal festif a progressivement décliné, pour diverses raisons. L’esprit du divertissement est cependant toujours fortement ancré dans la ville.
Criminalisés et réprimés dès la colonisation, les rapports homosexuels sont cantonnés à l’espace privé. Vers 1900, divers lieux de drague homosexuelle, parfois très fréquentés, émergent à Montréal.
À la fin du XIXe siècle, Jos Song Long et sa buanderie intriguent les Montréalais : il est le premier immigrant d’origine chinoise à établir un commerce dans la ville.
Dans les années 1950-1960, le défilé de Noël du magasin Eaton rassemble à Montréal 11 000 enfants figurants et entre dans les foyers grâce à la télévision. Depuis, les traditions ont changé.