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Photomontage montrant le visage d’une femme souriante, de côté, et l’arrière de sa tête est remplie de photos et de quelques grands titres de journaux liés à sa vie.

Symbole d’entente entre les peuples, Expo 67 attire aussi des contestataires. Parmi eux, Donna Mergler, qui proteste contre la guerre du Vietnam lors du discours du président des États-Unis.

À l’extérieur, quatre musiciens sont sur une scène, chacun a un instrument ou un micro à la main. Une femme danse à l’avant de la scène. Une foule compacte se tient devant le groupe dont le nom est indiqué sur une affiche fixée à un mur autoportant.

Expo 67 a offert aux jeunes un pavillon à leur image. Ce lieu de rencontre et d’expression a notamment accueilli près de 2000 artistes, des Sinners d’Outremont à Janis Joplin!

Page couverture du passeport Expo 67 de Nicole Poliquin

L’été 1967, Nicole Poliquin a la responsabilité, à Trois-Rivières, d’un kiosque d’information touristique sur l’Expo 67. L’étudiante obtient alors un accès privilégié à l’Exposition et au monde.

Jean Huard et sa famille devant le pavillon de l’Iran en août 1967.

Une quinzaine de visites à l’Expo 67 ont marqué Jean Huard pour la vie. Avec enthousiasme, il évoque les activités, les lieux et les découvertes, sans oublier sa collection de souvenirs.

Construction d'un pavillon thématique conçu par la firme Affleck, Desbarats, Dimakopoulos, Lebensold & Sise

Bruce Allan, aujourd’hui architecte associé du groupe ARCOP à Montréal, raconte la conception de certains pavillons d’Expo 67 et sa participation à leur élaboration, en tant que stagiaire.

La famille Taillefer devant le pavillon de l’Angleterre

Après des semaines d’attente et de préparation, Denis Taillefer découvre enfin Expo 67! Il a 11 ans et le monde s’ouvre à lui. Le jeune Montréalais en profitera jusqu’au bout, et même un peu plus.

Photo en noir et blanc de trois adolescents dans la cour arrière de la maison familiale.

Comment vivre les transformations et tensions de l’adolescence entre Révolution tranquille et traditions açoriennes? José-Louis Jacome raconte son intégration à sa nouvelle vie montréalaise.

José-Louis Jacome en compagnie de Madalena da Costa et José Manuel Pereira

La quête de José-Louis Jacome pour retrouver ses racines raconte bien plus qu’une histoire personnelle, elle témoigne des débuts de l’immigration des Açoriens à Montréal.

Capture d’écran du clip : José-Louis montre une photo prise quand il était enfant en se tenant à l’endroit où elle a été prise près de 60 ans plus tard.

José-Louis Jacome nous entraîne dans les quartiers de la Petite Italie et de Villeray où, enfant immigrant, il a vécu ses premières expériences montréalaises.

Photo en noir et blanc montrant les mains d’un grand-père et de deux de ses petits-enfants qui sont appuyées sur un mur en plan rapproché.

Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des grands-parents témoignent de ce qui les unit à leurs petits-enfants. Ici, le témoignage de Manuel Vasco.