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Un homme d’Église est entouré de deux femmes, une habillée d’un costume et l’autre avec fourrure. Les trois ont un sourire, mais la femme de droite sourit plus amplement en regardant les deux autres.

Depuis neuf décennies, Le Chaînon vient en aide aux femmes les plus démunies. Fondé par Yvonne Maisonneuve, cet organisme montréalais s’appuie toujours sur des principes généreux et humanistes.

Photo couleur montrant cinq personnes debout sur un balcon au deuxième étage. L’une tient un livre que tous regardent, sauf elle qui regarde vers l’homme à gauche.

Depuis 1978, Associées et bénévoles ont su adapter la gestion et la structure du Chaînon aux nouvelles réalités pour offrir des services toujours pertinents. Ce travail colossal doit être souligné.

Deux wagons de train. Deux passagères marchent sur le quai avec leur valise. Une femme tend la main à une fille dans les escaliers du wagon, derrière elle, une fille est debout. Par une des fenêtres, on voit deux femmes sourire.

Au milieu du XXe siècle, Le Chaînon a œuvré pour prévenir la déchéance des jeunes filles. Il a notamment accueilli, dans les gares et le port de Montréal, les nouvelles citadines démunies.

Deux femmes portant un manteau transportent des légumes avec une brouette.

La foi en la Providence a guidé Yvonne Maisonneuve et les Associées dans leur œuvre charitable. La Providence est-elle à l’origine de la profonde solidarité qui anime toujours l’association?

Une femme debout tient une porte ouverte pour une femme et un enfant que l’on voit de dos. Sur la gauche, une plaque où est écrit : « Maison d’Accueil ».

Au cours des décennies, dans un environnement sécuritaire et chaleureux, les diverses Maisons d’accueil du Chaînon ont offert des services adaptés à des fillettes et à des femmes de tous âges.

Une fillette assise dans un escalier, tête penchée vers l’avant, coudes sur les genoux et mains devant les yeux. Devant elle, une femme est assise plus bas, regard tourné vers l’enfant et main posée sur les genoux de la fillette.

De 1947 à 1967, l’Institut Notre-Dame-de-la-Protection, ancêtre du Chaînon, a servi de foyer à de nombreuses fillettes et jeunes filles. Les Associées prenaient alors le rôle de maman.

Photo couleur de vingt-deux femmes posant devant une maison de briques rouges de trois étages avec un portique avec des colonnes blanches.

En 1973, le Centre des femmes de Montréal ouvre ses portes pour offrir des services en adéquation avec les demandes des femmes. Depuis 1976, il occupe une maison emblématique de Milton Parc.

Une trentaine de personnes sont assises sur des chaises en cercle dans une grande salle.

Depuis les années 1970, les groupes autochtones se mobilisent dans la métropole québécoise pour se rendre visibles les uns aux autres et pour mettre en valeur leur culture.

Une quinzaine de personnes se tiennent derrière deux  grandes bannières, l’une rouge, l’autre blanche. On peut y lire : « Arrêtez la violence, arrêtez le mépris, Stella »

En 1995, un groupe de travailleuses du sexe fondent l’organisme Stella, l’amie de Maimie afin de d’améliorer leur qualité de vie et leurs conditions de travail à Montréal.

Quatre femmes souriantes sont assises à des tables dans une classe.

Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.