La fête des Morts, célébrée au Mexique depuis environ 3500 ans, se transporte à Montréal aux mois d’octobre et de novembre 2011.
Célébrée à Montréal dès le XVIIe, la Fête-Dieu est contestée par des groupes protestants au XIXe. Tenue 60 jours après Pâques, elle donne lieu à des processions majestueuses jusqu’aux années 1960.
La transplantation d’un morceau d’écosystème nordique au sud du Québec est l’un des événements des Floralies de Montréal. En 1980, la végétation de la tourbière a séduit des milliers de visiteurs.
Une accumulation de neige de 43 cm en 24 h, un vent de 108 km/h, des motoneigistes assistant les citadins, et malheureusement 17 victimes. Ce ne sont là que quelques aspects d’une tempête mémorable.
Au XIXe siècle, Montréal est une des principales villes d’expositions du Canada. Pourtant, après 1891 débute une série de tentatives infructueuses pour organiser à nouveau de tels événements.
Pénible et tortueux, le processus pour l’obtention d’Expo 67 a été la première étape de l’organisation d’une des expositions les plus marquantes, et certainement la plus populaire, du XXe siècle.
En 1958, à l’Exposition de Bruxelles, le sénateur Mark Drouin fait une annonce qui conduira à la candidature de Montréal pour l’Exposition universelle de 1967. Un très long processus est enclenché.
En 1944, un avion militaire s’écrase juste au sud du centre-ville de Montréal et ravage une partie de Griffintown. C’est un terrible rappel des horreurs de la guerre qui déchire alors l’Europe.
La lourde organisation d’une exposition universelle est sous la responsabilité d’un commissaire général et de son adjoint. Or, la désignation des têtes dirigeantes d’Expo 67 fut une véritable saga.
Le thème Terre des Hommes donnait un sens profondément humaniste à l’Exposition de Montréal. Il invitait l’humanité à réfléchir sur son futur et surtout sur son rôle dans ce futur.