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Spectacle de danse lors de la fête nationale de la Colombie au parc Jean-Drapeau, de jour

Au XXe siècle, de nombreux Colombiens se sont établis à Montréal, dans des conditions et pour des raisons très diverses. Ils forment aujourd’hui une communauté originale.

Joé Armando prend la pose dans un restaurant

Pionnier de la musique latino-américaine au Canada, figure majeure de ce genre et du jazz, « Tito Puente de Montréal », génie de la percussion, gagnant d’un prix Grammy… tel est Joé Armando.

Réception au consulat général de Colombie à Montréal, en 1954, pour souligner le 144e anniversaire de l’indépendance du pays

Manuelita Del Vayo serait la première personne colombienne établie à Montréal. Depuis les années 1930, de nombreux compatriotes l’y ont suivie.

Un homme et une femme sont debout et tiennent chacun un microphone. Autour d’eux se trouve une foule composée d’enfants et de quelques adultes.

Arrivée à Verdun à partir du début du XXe siècle, une communauté d’expatriés madelinots s’y est enracinée.

Un homme et une femme en habits traditionnels péruviens se tiennent sur une scène. En arrière-plan, deux hommes habillés d'un veston noir.

L’installation des Péruviens à Montréal est récente, et ils font encore face à des obstacles économiques. Cependant, ce groupe est déjà très dynamique sur la scène culturelle de la métropole.

Raimundo Ravello dans son salon

Peu nombreux à Montréal avant la décennie 1970, les Chiliens s’y établissent en grand nombre à la suite du coup d’État qui frappe leur pays en 1973.

Un groupe de Missionnaires d’Afrique devant leur maison de la rue Saint-Hubert à Montréal.

Au début du XXe siècle, l’Afrique est peu connue des Montréalais. C’est à travers les lunettes des missionnaires qu’ils en font la découverte.

Femme avec des lunettes, regard contemplatif.

Par l’œuvre d’une vie, la fondatrice de l’association Le Chaînon a secouru des générations de Montréalaises dans le besoin. Sa mission se poursuit, selon les valeurs qu’elle a transmises.

Peinture d’un homme portant une barbe.

Deux familles — l’une d’origine anglaise, l’autre d’origine américaine — s’uniront et contribueront largement à modeler le visage du Plateau Mont-Royal, pendant quatre générations.

Photographie en noir et blanc représentant un homme d’âge mûr entouré de quatre jeunes femmes devant un immeuble de brique.

Parmi les nombreuses familles peuplant le Mile End au début du XXe siècle, celle des sœurs McNulty détonne. C’est en effet Annie, une célibataire de 26 ans, qui dirige la maisonnée.