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Photo en noir et blanc montrant une grand-mère et sa petite-fille qui l’enlace en plan rapproché.

Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des petits-enfants racontent ce qui les unit à leurs grands-parents. Ici, le témoignage de Tania Carreira.

Église Santa Cruz sur la rue Rachel Ouest.

Les difficiles conditions de vie des immigrants portugais avivent leur attachement au catholicisme. L’Église, puissant élément d’identification, contribue durablement à la cohésion de la communauté.

Fontaine du parc du Portugal.

À Montréal, la culture de la communauté portugaise s’exprime énergiquement par l’éducation, les arts, les médias, mais aussi par des savoirs populaires raffinés, comme l’azulejo et la gastronomie.

Une mère et ses trois enfants devant leur maison.

Arrivés seuls à Montréal, les Portugais choisissent leur nouveau quartier selon des liens familiaux déjà établis. Puis, le regroupement familial contribue à la forte croissance de la communauté.

Photographie de deux hommes appuyés sur des billots de bois, dans la forêt en hiver.

L’immigration portugaise au Québec est directement liée à la question du travail. Ainsi, dans les années 1950, de nombreux Portugais répondent à un programme fédéral de recrutement de travailleurs.

Membres de l’Associação Portuguesa do Canada (APC) en 1966

Pour briser l’isolement de l’immigration, les Portugais de Montréal se rapprochent et, progressivement, mettent en place des associations structurées qui diffusent leur langue et leur culture.

Fotografia a preto e branco de quatro homens, de pé, em frente a uma árvore. Apenas um tem sapatos.

Les premiers immigrants açoriens sont arrivés à Montréal en 1953 et 1954. Les témoignages de ces pionniers livrent les raisons du départ, les conditions du voyage, les difficultés de l’arrivée.

Seis açorianos pousam em frente a uma casa com uma bandeira.

Les premiers Açoriens ont immigré à Montréal dans les années 1950. Ils évoquent leur premier travail, les difficultés familiales ou administratives, mais aussi la naissance d’une communauté.

Photo en noir et blanc de trois adolescents dans la cour arrière de la maison familiale.

Comment vivre les transformations et tensions de l’adolescence entre Révolution tranquille et traditions açoriennes? José-Louis Jacome raconte son intégration à sa nouvelle vie montréalaise.