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Affichage 21 à 30 de 42 résultats pour le terme de recherche "quartier chinois".
Portrait en plan poitrine d’un homme qui regarde de biais. Il porte moustache et barbichette.

On le surnommait « le médecin des pauvres », et une école portait son nom de son vivant. Portrait du docteur Baril qui eut une énorme influence de 1883 à 1913 dans le quartier Hochelaga.

La femme de lettres Gabrielle Roy entourée de neuf petits garçons du quartier Saint-Henri à Montréal. Ils sont assis sur une clôture au coin des rues Saint-Augustin et Saint-Ambroise près de la voie ferrée.

Avec toujours autant d’acuité, le roman de Gabrielle Roy, Bonheur d’occasion, entraîne le lecteur au cœur du quartier Saint-Henri et témoigne de la dureté de la vie des ouvriers d’alors.

Jacynthe Ouellette reçoit le prix Thérèse-Daviau dans le hall d’honneur de l’hôtel de ville

Se regrouper pour faire à manger offre de nombreux avantages. Les cuisines collectives permettent à leurs membres de cuisiner ensemble dans le plaisir, tout en faisant des économies.

Une quinzaine de personnes se tiennent derrière deux  grandes bannières, l’une rouge, l’autre blanche. On peut y lire : « Arrêtez la violence, arrêtez le mépris, Stella »

En 1995, un groupe de travailleuses du sexe fondent l’organisme Stella, l’amie de Maimie afin de d’améliorer leur qualité de vie et leurs conditions de travail à Montréal.

Une femme âgée se tient debout avec une canne dans un jardin fleuri devant une maison de pierres grises.

L’été 2021, des animateurs du MEM ont parcouru les rues de Milton Parc à bord des vélos citoyens. Ils ont interviewé des chambreurs de la société d’habitations Chambrelle.

Photo couleur de vingt-deux femmes posant devant une maison de briques rouges de trois étages avec un portique avec des colonnes blanches.

En 1973, le Centre des femmes de Montréal ouvre ses portes pour offrir des services en adéquation avec les demandes des femmes. Depuis 1976, il occupe une maison emblématique de Milton Parc.

Une trentaine de personnes sont assises sur des chaises en cercle dans une grande salle.

Depuis les années 1970, les groupes autochtones se mobilisent dans la métropole québécoise pour se rendre visibles les uns aux autres et pour mettre en valeur leur culture.

Photo couleur d’une femme souriante en plan rapproché, prise à l’extérieur.

Joaquina Pires fait partie de ces personnes, anonymes auprès du grand public, qui contribuent à améliorer notre société. Depuis toujours, elle soutient les immigrantes et les immigrants de Montréal.

Quatre femmes souriantes sont assises à des tables dans une classe.

Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.

Plus de vingt femmes assises dans une salle de classe.

Depuis le début du XXe siècle, de multiples associations puis organismes communautaires ont joué un rôle crucial pour accompagner les femmes montréalaises dans différents aspects de leur vie.