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Portrait de Léa Roback en 1940

En 1937, Léa Roback réussit à syndicaliser 5 000 ouvrières après une grève féminine d’une ampleur inégalée à Montréal. Sa vie durant, elle s’est dévouée « à la cause des femmes et de l’humanité ».

L’une des rares images de l’intérieur du premier magasin Steinberg avec, derrière la caisse à gauche, Ida Steinberg.

Des pyramides de fruits et de légumes frais, des « cannages » à profusion, de la farine, du sucre, des céréales, du thé, du café : on trouve de tout chez Mme I. Steinberg, épicière.

La première quincaillerie Pascal située au marché Saint-Laurent.

Au début du XXe siècle, l’arrivée massive d’immigrants contribue à l’activité économique de la métropole. Certaines initiatives marqueront l’histoire commerciale de Montréal et du Québec.

Les acteurs de la pièce de théâtre Ruth réunis devant le Monument national, haut lieu culturel juif au début du XXe siècle.

Des commerces, comme le célèbre restaurant Schwartz’s, représentent les emblèmes visibles d’une communauté dont les contributions sont passées à l’histoire.

Le magasin Fineberg sur la rue Ontario. Deux hommes se tiennent debout devant l'entrée.

Que ce soit par une église aux dômes impressionnants ou par un commerce aux saveurs européennes, la présence des Européens de l’Est à Montréal est visible dans tous les quartiers.

Un homme est assis, un livre dans les mains. Il se tourne pour regarder le photographe.

Louis Muhlstock, comme d’autres peintres juifs de Montréal, se consacre longtemps aux petites gens et aux paysages urbains. Artiste de renom, il est exposé au Canada et à l’étranger.

Représentation d'Alexander Bercovitch avec manteau brun, foulard et chapeau noir.

Venus d’Europe de l’Est, des artistes juifs peignent Montréal pendant l’entre-deux-guerres. Leur œuvre a annoncé la modernité et nous fait découvrir une page oubliée de l’histoire de la ville.

Une professeure enseigne aux élèves de l’école Folk Shule, ou École juive populaire, alors située sur la rue Van Horne.

Au début du XXe siècle, peu de choix d’écoles s’offrent aux milliers d’enfants juifs qui arrivent à Montréal.

Des centaines de travailleurs de l’ILGWU passent au vote.

Au début du XXe siècle, des milliers de juifs d’Europe de l’Est débarquent à Montréal et sont embauchés dans les usines. Ils apportent des idéaux politiques qui vont marquer les luttes ouvrières.

Groupe d'enfants accompagnés d'adultes se tenant dans les escaliers d'un immeuble.

À partir des années 1950, les séfarades arrivent nombreux à Montréal. Leur venue modifie le visage de la communauté juive montréalaise, jusqu’alors à prédominance ashkénaze et anglophone.