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Pierre tombale d’Edith Maud Eaton, cimetière Mont-Royal

Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.

Photo noir et blanc de quatre femmes assises autour d’une table, un micro est posé au milieu de la table.

Dans les années 1930, deux activistes montréalaises sont à la tête de nouvelles émissions radiophoniques consacrées aux droits des femmes. Leur message est entendu aux quatre coins de la province!

Des soldats bouclent une rue. On aperçoit deux autobus et des voitures.

Le 16 octobre 1970, en vertu de la Loi sur les mesures de guerre, le gouvernement canadien adopte un règlement draconien. Près de 8000 soldats sont déployés à Montréal.

Fotografia a cores de uma mulher sorridente em plano aproximado, tirada no exterior.

Joaquina Pires fait partie de ces personnes, anonymes auprès du grand public, qui contribuent à améliorer notre société. Depuis toujours, elle soutient les immigrantes et les immigrants de Montréal.

Aquarelle du port en 1830

Le 1er août 1834, dans le port de Montréal, on célèbre la mise en vigueur de la Loi de l’abolition de l’esclavage dans les colonies britanniques. On trinque à la santé de l’Empire!

Façade de la Maison de Louis-Joseph Papineau rue Bonsecours en hiver

Avocat, militaire, politicien et surtout leader des rébellions de 1837 et 1838, Louis-Joseph Papineau a marqué l’histoire du Canada. À Montréal, sa maison témoigne d’une époque et d’un personnage.

Photo couleur en plan taille d’une femme noire souriante.

La quête d’équité a été un moteur de la carrière de Viviane Ducheine au sein de la Ville de Montréal. L’efficace promotion de l’interculturalisme par cette dirigeante originaire d’Haïti le prouve.

Photo couleur de quelques personnes manifestant. Au centre, une femme tient un micro et un homme à ses côté tient un porte-voix. Une personne âgée pleure à l’avant-plan.

Construite après les expulsions des années 1970, la tour résidentielle surnommée « la Plaza chinoise » témoigne des luttes pour le logement qui ont animé le Quartier chinois au début du XXe siècle.