Ernest Cormier est un des architectes majeurs du XXe siècle montréalais. Parmi ses œuvres, classiques ou fleurtant avec l’avant-garde, figurent des édifices marquants de la métropole.
Le patrimoine photographique montréalais offre un ensemble documentaire d’une formidable richesse. Nous le devons à des maîtres photographes, mais aussi à la photographie commerciale et privée.
Quelques jours avant les Jeux olympiques de Montréal, une importante exposition d’art public est démolie sans avertissement. Le maire Drapeau se justifie en parlant de danger public et d’indécence.
Fondé au XIXe siècle par huit musiciennes, ce club anglophone était réservé aux femmes. Toujours actif, il attire aujourd’hui les amateurs de musique classique sans distinction de langue ou de sexe.
Les grands vitraux colorés qui caractérisent l’édicule de la station de métro Champ-de-Mars sont l’œuvre de Marcelle Ferron, une artiste majeure qui compte parmi les signataires du Refus global.
Le choix du logo d’Expo 67, qui appartient maintenant au patrimoine de Montréal et du Canada, a été une véritable saga, marquée par un bras de fer entre la Compagnie canadienne de l’Exposition universelle de 1967 et le Parlement.
Louis Muhlstock, comme d’autres peintres juifs de Montréal, se consacre longtemps aux petites gens et aux paysages urbains. Artiste de renom, il est exposé au Canada et à l’étranger.
Après des études en art à Florence, Guido Nincheri s’établit à Montréal et devient un décorateur d’églises prestigieux. Ses œuvres magnifiques ornent de nombreux lieux de culte en Amérique du Nord.
Guido Nincheri fabrique des vitraux dans un local du boulevard Pie-IX, dès le milieu des années 1920. Il crée des centaines d’œuvres exceptionnelles dans cet atelier maintenant accessible au public.
Venus d’Europe de l’Est, des artistes juifs peignent Montréal pendant l’entre-deux-guerres. Leur œuvre a annoncé la modernité et nous fait découvrir une page oubliée de l’histoire de la ville.