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Affichage 1 à 7 de 7 résultats pour le terme de recherche "quartier chinois".
Photographie couleur montrant en gros plan une foule à l’extérieur.

Le boum démographique des années 1960 ainsi qu’une immigration aux origines nouvelles ont transformé Montréal. Ouverte sur la planète entière, Expo 67 a été une introduction à cette métamorphose.

Une femme et deux enfants sur le côté d’une maison rue Britannia.

Mai 1964 : 350 maisons et commerces disparaissent et 1500 personnes perdent leur milieu de vie. D’anciens résidants témoignent de l’intensité des relations de voisinage dans cette petite enclave.

Une mère et ses trois enfants devant leur maison.

Arrivés seuls à Montréal, les Portugais choisissent leur nouveau quartier selon des liens familiaux déjà établis. Puis, le regroupement familial contribue à la forte croissance de la communauté.

Fontaine du parc du Portugal.

À Montréal, la culture de la communauté portugaise s’exprime énergiquement par l’éducation, les arts, les médias, mais aussi par des savoirs populaires raffinés, comme l’azulejo et la gastronomie.

Illustration du bateau dans le port, avec une foule qui accueille les arrivants.

Jusqu’en 1964, pendant tout l’hiver, les navires ne pouvaient plus rejoindre Montréal, emprisonnée dans la glace. L’arrivée du premier bateau de l’année amorçait alors un véritable retour à la vie.

Église Santa Cruz sur la rue Rachel Ouest.

Les difficiles conditions de vie des immigrants portugais avivent leur attachement au catholicisme. L’Église, puissant élément d’identification, contribue durablement à la cohésion de la communauté.

Photographie de deux hommes appuyés sur des billots de bois, dans la forêt en hiver.

L’immigration portugaise au Québec est directement liée à la question du travail. Ainsi, dans les années 1950, de nombreux Portugais répondent à un programme fédéral de recrutement de travailleurs.