Venus d’Europe de l’Est, des artistes juifs peignent Montréal pendant l’entre-deux-guerres. Leur œuvre a annoncé la modernité et nous fait découvrir une page oubliée de l’histoire de la ville.
Avec toujours autant d’acuité, le roman de Gabrielle Roy, Bonheur d’occasion, entraîne le lecteur au cœur du quartier Saint-Henri et témoigne de la dureté de la vie des ouvriers d’alors.
Depuis le début du XXe siècle, de multiples associations puis organismes communautaires ont joué un rôle crucial pour accompagner les femmes montréalaises dans différents aspects de leur vie.
Sauvées de la démolition par le Comité citoyen de Milton Parc dans les années 1970, des maisons de chambres offrent un milieu de vie et un loyer abordable aux personnes démunies du quartier.
Bonne ou aide familiale, cette travailleuse fait partie de la réalité montréalaise depuis des siècles. Cette profession peu reconnue a cependant évolué au fil du temps et a su gagner ses galons.
Se regrouper pour faire à manger offre de nombreux avantages. Les cuisines collectives permettent à leurs membres de cuisiner ensemble dans le plaisir, tout en faisant des économies.
Ce documentaire de Bruno Ramirez et Giovanni Princigalli donne la parole à trois camarades militants qui, de l’Italie du Sud à Montréal, ont toujours lutté pour l’amélioration des conditions de vie des travailleurs.
Le documentaire réalisé à l’occasion des 25 ans du Centre Afrika met en valeur l’approche humaine de cet organisme qui soutient l’intégration des Africains dans la société montréalaise.
Parcourons Montréal en 1734, et imaginons la vie des habitants de cette petite ville coloniale, française et catholique. Cité de commerçants et de militaires, elle couvre le Vieux-Montréal actuel.
Oui, certains Montréalais ont réellement possédé des esclaves. On estime à 4000 le nombre de Noirs et d’Autochtones réduits en esclavage en Nouvelle-France puis dans la colonie britannique.