Inaugurée en 1847, la première ligne de chemin de fer construite sur l’île métropole reliait les villes de Montréal et de Lachine.
Chef-d’œuvre de l’ingénierie québécoise, le pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine a permis le franchissement du Saint-Laurent, mais a nécessité la destruction du cœur villageois de Longue-Pointe.
Déposé sur 24 piliers et assemblé par 1,5 million de rivets, le pont Victoria, long de 2,79 km et pesant plus de 9000 tonnes, a été réalisé en cinq ans grâce au labeur de jusqu’à 3000 ouvriers.
De 1959 à 1984, la police de Montréal assure à nouveau le service d’ambulance. Le transport des patients prend une telle ampleur qu’on dit alors que ses agents sont plus ambulanciers que policiers!
En 1836, la première ligne de chemin de fer au Canada améliore la route Montréal-New York et, au début du XXe siècle, la métropole québécoise est le centre des infrastructures ferroviaires du pays.
Montréal étant situé au cœur d’un réseau hydrographique, sa fonction militaire, liée au ravitaillement, au transport des troupes et à l’organisation d’infrastructures militaires, s’est imposée d’elle-même.
En ce début du XXIe siècle, environ 35 millions de véhicules traversent annuellement le pont Jacques-Cartier. Et bien d’autres mesures peuvent qualifier cet emblème de Montréal.
Pendant près d’un siècle, le tramway a rythmé les rues montréalaises. Tirés par des chevaux vers 1860, les wagons ont rapidement bénéficié de l’électricité. Ils ont cependant disparu en 1959.
Au milieu du XXe siècle, Le Chaînon a œuvré pour prévenir la déchéance des jeunes filles. Il a notamment accueilli, dans les gares et le port de Montréal, les nouvelles citadines démunies.
Des moments symboliques ont marqué l’histoire du taxi à Montréal. Ils permettent de comprendre les transformations de cette industrie et illustrent l’évolution du métier de chauffeur.