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Le monorail devant les pavillons de l’Union Soviétique et des États-Unis

En 1967, la rivalité États-Unis–URSS oriente les relations internationales, accapare les esprits et s’impose jusqu’à l’Exposition de Montréal, où les pavillons des deux pays fascinent.

Carte postale du Pavillon des Indiens du Canada

À l’occasion d’Expo 67, les Premières Nations du Canada font connaître au monde entier leur histoire tragique et leurs difficiles conditions de vie, dans un pavillon qui ne passe pas inaperçu.

Vue d’ensemble du pavillon cubain, avec quelques visiteurs autour.

Bien qu’il s’agisse d’un petit pays, la présence de Cuba à Expo 67 fait grand bruit. Très fréquenté, le modeste pavillon cubain suscite la controverse et sera même la cible de projets d’attentats.

Bernard et Jean-Pierre, les fils aînés d'Adeline et de Max Chancy, devant le 798 Champagneur

Bienvenue au 798, avenue Champagneur. Cet appartement a été la principale résidence montréalaise de la famille Chancy, et certains le nomment la « première Maison d’Haïti ».

Façade de la Maison de Louis-Joseph Papineau rue Bonsecours en hiver

Avocat, militaire, politicien et surtout leader des rébellions de 1837 et 1838, Louis-Joseph Papineau a marqué l’histoire du Canada. À Montréal, sa maison témoigne d’une époque et d’un personnage.

Photo aérienne de nuit de l’hôtel de ville.

Depuis la constitution en municipalité de la Ville de Montréal en 1832, les élus municipaux rêvaient d’un édifice prestigieux pour remplir la fonction d’hôtel de ville. C’est chose faite en 1872.

Parc Angus, site des anciennes usines Angus dans l’arrondissement Rosemont–La Petite-Patrie.

En 1904, à l’ouverture des usines Angus dans le futur Rosemont, 3000 ouvriers entrent au travail. Leur logement intéresse les investisseurs, notamment le promoteur immobilier Ucal-Henri Dandurand.