Fréquentées aujourd’hui par des professionnels, des amateurs et de simples spectateurs, de nombreuses installations sportives des Jeux olympiques de 1976 animent le paysage montréalais.
En 1976, Montréal accueille les 21e Jeux olympiques. Cet événement d’envergure mobilise une foule de travailleurs qui réussissent à tout mettre en place pour accueillir athlètes et visiteurs du monde entier.
Quelques chiffres et statistiques nous rappellent des éléments marquants des Jeux olympiques de Montréal et révèlent des réalités méconnues.
Depuis 1809, la colonne Nelson affronte quotidiennement les intempéries et les critiques politiques. Pour certains Montréalais, elle symbolise en effet l’impérialisme britannique du XIXe siècle.
La pratique des différentes disciplines olympiques nécessite des lieux spécifiques. En 1976, les compétitions se sont déroulées surtout à Montréal, mais aussi ailleurs au Québec et même en Ontario.
Véritable cité dans la ville, le Village olympique a vibré au rythme des Jeux de 1976. Ses pyramides à l’architecture audacieuse sont un souvenir précieux de cet événement marquant.
Articulé autour d’une statue, un espace public du Quartier Concordia souligne l’importance du travail de Norman Bethune comme chirurgien de l’armée de Mao durant la guerre sino-japonaise.
En 2005, l’arrondissement historique et naturel du Mont-Royal est créé pour assurer officiellement la protection de ce site vert et culturel. Il est en effet aussi riche que convoité.
Créer le Jardin botanique de Montréal pendant des années de crise était un véritable défi. Ce bijou de nature au cœur de la ville a pourtant pris forme, grâce au frère Marie-Victorin.
Les Montréalais adoptent la bicyclette dès la fin du XIXe siècle. Le vélo est ensuite déclassé par le tramway et l’automobile, mais il revient en force 100 ans après son arrivée en Amérique.