Avocat, militaire, politicien et surtout leader des rébellions de 1837 et 1838, Louis-Joseph Papineau a marqué l’histoire du Canada. À Montréal, sa maison témoigne d’une époque et d’un personnage.
Le 11 juillet 1940, Conrad Poirier photographie une troupe de théâtre sur les quais du club d’aviron de Lachine. Pour les amateurs de théâtre d’été, les jeunes artistes allègent le climat de guerre.
La prison Au-Pied-du-Courant a de nombreuses fois changé d’affectation. Cependant, porteuse d’histoire, elle demeure le témoin de la répression des rébellions de 1837 et 1838.
Au printemps 1942, le gouvernement charge les écoliers et écolières du Canada de récolter du caoutchouc de rebut. Les petits Montréalais contribuent ainsi à l’effort de guerre.
Au XXe siècle, trois partis politiques organisent la communauté sino-montréalaise. Ils maintiennent aussi un lien avec la mère patrie et favorisent la solidarité entre les Chinois de Montréal.
En 1945, les Chinois de Montréal organisent un grand défilé célébrant la fin de la guerre. Toute la population de la ville est conviée à des festivités pittoresques et d’envergure.
En 1944, un avion militaire s’écrase juste au sud du centre-ville de Montréal et ravage une partie de Griffintown. C’est un terrible rappel des horreurs de la guerre qui déchire alors l’Europe.