À la fin du XIXe siècle, les divertissements se démocratisent. À un point tel que les manifestations populaires et culturelles font maintenant partie intégrante du paysage estival de Montréal.
Depuis 1924, l’œuvre de la fondation Campbell est un bel exemple de la démocratisation de la musique à Montréal, et de l’influence de la tradition protestante sur ce mouvement.
Datant de l’époque victorienne, le parc La Fontaine est fortement ancré dans l’âme des Montréalais. Au gré des transformations, il est devenu un lieu de rassemblement familial et populaire.
Actif depuis 1952, le théâtre ambulant pour les jeunes Montréalais La Roulotte est l’œuvre de Paul Buissonneau. Ce géant de la télévision et du théâtre a énergiquement influencé la scène montréalaise.
En 2005, l’arrondissement historique et naturel du Mont-Royal est créé pour assurer officiellement la protection de ce site vert et culturel. Il est en effet aussi riche que convoité.
Au cours du XIXe siècle, les Montréalais ont pu visiter cinq jardins appartenant à J. É. Guilbault. Évoluant de la pépinière au parc d’attractions, ces lieux étaient alors dans l’air du temps.
Les berges de l’île de Montréal ont été grandement transformées par le développement portuaire et l’urbanisation. Des pressions citoyennes ont toutefois permis d’en revitaliser certaines portions.
Entre 1901 et 1906, les fêtes du 14 juillet, présentées au parc Riverside de la ville de Maisonneuve, étaient célébrées avec un faste hors du commun.
La transplantation d’un morceau d’écosystème nordique au sud du Québec est l’un des événements des Floralies de Montréal. En 1980, la végétation de la tourbière a séduit des milliers de visiteurs.