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Intérieur de la salle vue vers la scène du Cinéma Impérial (rue Bleury).

Au début du XXe siècle, les Montréalais raffolent des « vues animées », malgré les réprimandes du clergé. Cet engouement pour le cinéma ne sera pas étouffé et persistera.

Boulevard Saint-Laurent en direction nord, prise à partir de la rue Vitré (aujourd'hui l'avenue Viger). On peut remarquer sur le flanc gauche une succession d'édifices abritant différents commerces dont l’édifice Robillard.

Dévasté par un incendie en 2016, l’édifice Robillard avait une valeur patrimoniale indéniable. De 1896 à 1897, il avait abrité la première salle exclusivement cinématographique du Canada.

Ernest Ouimet avec une caméra

Passionné par le cinéma et innovateur hors pair, Ernest Ouimet a grandement développé cette industrie. Sans cet étonnant pionnier, Montréal ne serait pas une des métropoles du grand écran.

Façade de l’édifice Empress Theatre en 2018. Malgré les éléments architecturaux néoégyptiens visibles, le délabrement de l’édifice, en arrière d’une grille métallique de protection, est palpable.

Dès sa construction en 1928, le cinéma Empress Theatre se distingue par son style inspiré de l’Égypte ancienne. Malgré les outrages du temps et son abandon, il se démarque toujours.

Dans un bar, un chanteur et guitariste joue pour des personnes attablées.

De 1940 à 1960, sortir à Montréal n’est pas banal, car toutes les grandes stars européennes et américaines s’y produisent, et les autorités sont peu regardantes quant aux mœurs et au couvre-feu.

Robert Gravel, le bras levé, arborant le chandail de la LNI.

Disparu trop tôt, Robert Gravel, comédien hors du commun, a contribué à l’évolution de la pratique théâtrale au Québec et a cocréé la Ligue Nationale d’Improvisation.

Portrait buste de Georges Gauvreau sur la page d’une revue, avec l'inscription « M. Georges Gauvreau »

Meilleur directeur de théâtre canadien-français du début du XXe siècle, Georges Gauvreau se consacra à cette œuvre culturelle et au développement du cinéma au Québec.