Associée puis directrice du Chaînon, Lucie Morrissette semblait destinée dès l’enfance à défendre et servir son prochain. Au sein de l’organisation, elle s’y consacre depuis sept décennies.
Au milieu du XXe siècle, Le Chaînon a œuvré pour prévenir la déchéance des jeunes filles. Il a notamment accueilli, dans les gares et le port de Montréal, les nouvelles citadines démunies.
La foi en la Providence a guidé Yvonne Maisonneuve et les Associées dans leur œuvre charitable. La Providence est-elle à l’origine de la profonde solidarité qui anime toujours l’association?
Considérées comme des missionnaires urbaines, les Associées offrent leur vie à Dieu en prenant soin des femmes. Cet apostolat laïque requiert bien des qualités, dont énergie et désintéressement.
Depuis neuf décennies, Le Chaînon vient en aide aux femmes les plus démunies. Fondé par Yvonne Maisonneuve, cet organisme montréalais s’appuie toujours sur des principes généreux et humanistes.
Au cours des décennies, dans un environnement sécuritaire et chaleureux, les diverses Maisons d’accueil du Chaînon ont offert des services adaptés à des fillettes et à des femmes de tous âges.
Par l’œuvre d’une vie, la fondatrice de l’association Le Chaînon a secouru des générations de Montréalaises dans le besoin. Sa mission se poursuit, selon les valeurs qu’elle a transmises.
Fondé au XVIIe siècle, puis établi en 1861 dans le futur quartier Milton Parc qu’il a fortement marqué, l’Hôtel-Dieu a été au service de la santé des Montréalais pendant près de 380 ans.
Cléophée Têtu se distingue parmi les religieuses ayant œuvré pour la santé ou l’éducation, car elle a mis sur pied l’Asile Saint-Jean-de-Dieu, qui est devenu une institution montréalaise.
Fondatrice de la première communauté de femmes missionnaires au Canada, Délia Tétreault a œuvré à Montréal. Mais son action a retenti jusqu’en Asie de l’Est.