Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.
De 1959 à 1984, la police de Montréal assure à nouveau le service d’ambulance. Le transport des patients prend une telle ampleur qu’on dit alors que ses agents sont plus ambulanciers que policiers!
Ce n’est que depuis 1985 que Montréalais et Montréalaises composent le 911 pour accéder à tous les services d’urgence. Tardif pour plusieurs raisons, ce progrès est cependant certain.
À Montréal, on exerce le métier de policier depuis 1865. Durant les décennies qui ont suivi la création du Département de police, cette activité s’est fortement professionnalisée.
Dans les années 1920, le F.B.I. visite le laboratoire de recherches médicolégales de Montréal, une ressource précieuse pour la police qui utilise les sciences depuis longtemps et avec succès.
Avant que ne soit créé un service de police municipal indépendant, la sécurité dans Montréal était assurée par diverses organisations, officielles, mais plus ou moins efficaces.
En vigueur dans les années 1920, la prohibition est à l’origine du monopole étatique en matière d’alcool et de l’institution qui deviendra la Société des alcools du Québec.
Les critiques portées contre la police de Montréal dès les années 1940 culminent lors de l’enquête Caron. La professionnalisation du métier de policier règlera progressivement plusieurs problèmes.
À la fin du XIXe siècle, les écoles montréalaises existantes accueillent un nombre croissant d’élèves immigrants. Cependant, des écoles portées par les communautés culturelles voient aussi le jour.
Au milieu du XIXe siècle sont créés les premiers établissements consacrés à l’éducation des sourds à Montréal. Il en émergera une dynamique communauté, ayant une langue et une culture distinctes.